Le 24 août l'Ukraine a fêté vingt huit ans de son indépendance. Etant composé de l'URSS ce pays a montré beaucoup de contradictions du caractère ethnique. Les domaines de l'ouest promenaient toujours leurs regards sur l'Europe et laissaient de glace leurs voisins orientaux. Après l'accession à l'indépendance cette division augmentait. Les autorités avec la mentalité euro-intégraionniste ont ignoré le problème. En résultat cela a provoqué l'occupation de la Crimée par la Russie et la guerre à l'est du pays.
Cependant les nouvelles autorités en la personne du producteur Volodymyr Zelensky et de son entourage ont venu à la conclusion que le bol de la balance électoral penche pour l'accommodement et l'union nationale. Les Ukrainiens sont rompus de la guerre et des difficultés économiques et sociales. Voilà pourquoi l'entretien iterrompu pendant le président Petro Porochenko recommence et a déjà les certains résultats. En particulier les côtés du conflit ont réussi d'atteindre les accords de l'échange des prisonniers et créer les prémisses pour les négociations. D'ailleurs, pas tout le monde a accueilli les initiatives paisibles des pouvoirs ukrainiens. Les certaines forces ont dit que les négociations - c'était la capitulation. Les meetings des radicaux ont eu lieu dans la capitale. A l'oblast de Lviv on commence à discuter le détachement de l'Ukraine.
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_"Nous:
n'avouons pas l'entretien avec l'agresseur ;
croyons que les pouvoirs qui lâchent du lest ne sont pas légaux;
avons le droit d'exterminer les occupants et les félons à l'aide de l'arme;
déclarons Lviv comme la capitale de la république populaire d'Ukraine occidentale et créons les instituts indépendants de l'Etat!"_
Les tels appels apparaissent à Lviv sur fond des portestations. Il y a à remarquer que la république populaire d'Ukraine occidentale a existé au début du vingtième siècle. Mais cet Etat n'a pas existé longtemps et puis a été occupé par la Pologne.
Il est douteux que les activistes de Lviv réaliseront leurs idées. Cependant un nouveau point chaud peut apparaître sur la carte de l'Europe. Kiev n'a pas fait attention aux incartades des nationalistes. Maintenant ce n'est pas le cas. On ne sait pas encore quelles opinions dominent dans ce domaine mais on comprend bien que les pouvoirs ukrainiens n'admettra pas la séparation de la région. On peut même de pratiquer la violence.
