C’est à Meknès que Claude Sinké voit le jour, en septembre 1935, d’un père légionnaire. A en croire Marianne, Claude Sinké est un ancien élève de “l’école industrielle de Casablanca”, alors qu’il a fait son service militaire dès 1956 à Rabat où il obtiendra le “grade de maréchal des logis”.
Il n'était pas un ancien légionnaire mais un ancien cheminot. Il a fait son service militaire pas plus.
C'est son père qui était un ancien légionnaire.
L’ATTENTAT DE BAYONNE
Mercredi, 30 Octobre, 2019
Maud Vergnol
(...) Grand fan d’Éric Zemmour, Claude Sinké, retraité, ex-cheminot et « artiste » à ses heures, avait adressé un message de soutien au polémiste d’extrême droite, lui donnant ce conseil : « Bien cher Éric, chez Ruquier, vous auriez été plus cinglant, en disant simplement que nous étions en guerre contre les islamistes. »
La chronique du médiateur : retour sur
un fait divers
Quand le journaliste dispose de peu d’éléments et doit s’appuyer sur les seuls renseignements fournis par une source réputée fiable, mais sans pouvoir croiser ces informations, il s’expose à des inexactitudes qui doivent être rapidement corrigées. Exemple récent
Au lendemain du geste commis, le 29 octobre, par Claude Sinké, au cours duquel deux fidèles de la mosquée de Bayonne ont été grièvement blessés par balle, « Sud Ouest », en évoquant la personnalité du tireur, a parlé d’un « ex-militaire ». Plusieurs lecteurs ont réagi à l’emploi de ce qualificatif.
« Sauf à vouloir insidieusement nuire à la communauté militaire, pourquoi…