Ardacher Je crois que tu n'a pas bien compris.
1 - Nos anciens ont été d'infâmes colonisateurs, c'est un fait, on ne peut pas le nier, là, d'une certaine façon, on paie les erreurs du passé, j'ai pas dit que c'était bien, je dis juste que c'est la suite logique des choses.
2 - Une vague d'immigration, ça peut se faire sur du très long terme, les invasions comme au temps des vikings, on en a pas tellement eu après, je te l'accorde, il y a néanmoins eu des tentatives de part et d'autre. Là, on peut effectivement considérer que les vagues d'immigrations auxquelles on a eu droit depuis les années 60 peuvent s'apparenter à une forme d'invasion "douce" et discrète, là aussi, on ne peut pas le nier. Il y a seulement une différence d'approche entre les vikings qui saignait toutes personnes en travers de leurs routes et les migrants d'aujourd'hui qui eux viennent par petits nombres et se cachent derrière les merdias et les assos pour s'installer chez nous.
3 - Ces peuples souffrent, oui, c'est un fait, franchement, je préfère vivre en France qu'en Syrie ou en Irak, faut être réaliste, là-bas, ça craint un max, tu veux aller chercher ton pain, tu as quand même de grandes chances de ramasser une balle de sniper, donc, si j'étais ressortissant d'un de ces pays de fous, je pense que j'envisagerai d'aller m'installer ailleurs, dans un pays civilisé par exemple.
Après, si nos pouvoirs publics se montrent laxistes, qu'est-ce que j'y peux ? Pour un migrant, c'est tout bénèfs, la France, c'est l'El-Dorado, ils seraient quand même cons de ne pas vouloir tenter leurs chances.
4 - Qu'on les accueille, oui, bon mais après, qu'on les ramène à la frontière, ben oui, qu'est-ce qui te choque là dedans ?
A oui, tu préfèrerai qu'on les bloque à la frontière, moi aussi car il est évident qu'on a déjà bien assez de misère comme ça chez nous pour en rajouter mais voilà, quelqu'un de vraiment déterminé à rentrer chez nous y arrivera, d'une manière ou d'une autre.
Et non, je ne vais pas pleurer quand on les renverra chez eux, c'est même carrément le contraire, je serai ravis.