réponse rapide car je suis pressé.
Vous dîtes que les vrais coupables sont ceux qui ont organisé notre colonisation, plus que les colonisateurs venus s'enrichir. Certes mais il va bien quand même falloir décoloniser
Le plus dur ne sera pas de décoloniser, c'est à dire d'expulser en masse, mais d'arriver au pouvoir pour pouvoir le faire. Comme est en train de l'expérimenter Trump, le plus dur est d'affronter une bourgeoisie dirigeante surpuissante et fanatique.
Vous dîtes que la guerre n'arrivera pas car le peuple ne se soulève pas. Je ne suis pas d'accord.
Jamais dit ça.
Vous pourrez bien trouver deux ou trois riches illuminés utilisant l'immigration pour saper les pouvoirs publics, mais ça reste une exception. Le patronat a certes encouragé l'immigration, mais ce n'est pas lui qui en a fait une religion et soutenu l'immigration familiale et l'asile. En général les patrons s'intéressent d'ailleurs peu à la morale ou au long terme.
Je suis assez d'accord. Les explications purement économistes m'ont toujours sembler relever de la paresse intellectuelle. Comme tu le dis, nous avons affaire à une idéologie d'origine religieuse.
Vous accusez la "bourgeoisie" et c'est une triple erreur : vous ne ciblez pas les principaux coupables (le clergé médiatique), vous passez sous silence le rôle que nous avons presque tous joué là-dedans un jour ou l'autre (notamment le tiers le plus aisé), et enfin vous ne leur laissez aucune porte de sortie et en faîtes donc des adversaires à mort.
il y a beaucoup de contradiction dans ce passage. Tu sembles sous-entendre que le clergé médiatique n'est pas inclus dans la bourgeoisie dirigeante, on se demande bien pourquoi. Quant au tiers le plus aisé de la population française (qui appartient pour une partie énorme à cette bourgeoisie dirigeante) il est évident qu'il est mouillé jusqu'au cou dans cette histoire. On en revient à ma théorie comme quoi l'immigration n'a servi qu'à empêcher la guerre civile, celle qui ne pourra se jouer qu'entre Blancs de souche du haut et Blancs de souche du bas. Oui, il s'agit d'une lutte à mort, sans merci, et l'épisode des gilets jaunes a fait tomber les masques.
Dernière chose : quand tu dis "vous passez sous silence le rôle que nous avons presque tous joué là-dedans un jour ou l'autre", je ne me sens pas concerné. J'ai voté à toutes les élections, de 1998 à 2007, pour le Front national de Jean-Marie Le Pen, avant de décréter que les Français souhaitaient, en leur âme et conscience, ce qui était en train d'arriver, et qu'il fallait que j'arrête de participer à cette mascarade démocratique.