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En 1947, année de la re-création d’Israël, le taux de fécondité des femmes arabes en Israël était de 8 enfants par femme. Il est aujourd’hui de 3, 1 ou 3,2 enfants par femmes. Exactement le même que celui des femmes juives. Le déséquilibre évoqué n’a donc plus lieu. En outre, des juifs d’autres pays continuent à émigrer en Israël, par exemple les juifs russes durant la dernière décennie. Même si par ailleurs un certain nombre d’entre eux ne sont pas juifs.
De plus, et depuis 1948, un nombre significatif de personnes non juives vont s’installer en Israël, pour des raisons diverses. Mais ces personnes proviennent de pays de culture occidentale et s’ils installent sur place, ils n’ont pas davantage d’enfants qu’ils n’en auraient dans leur pays d’origine.
Il n’y a pratiquement plus de problème de déséquilibre en Israël entre les taux de fécondité des femmes, quelle que soit leur « origine ».