cadmos Oui, elle ça va; nous sommes sûrs qu'elle n'aura ni ceinture explosive , ni 607 pleine de bouteilles de gaz sur le parking!

filochard ça aurait fait réfléchir les Musulmans

T'es un humanistes toi! Un musulman, réfléchir... 😁

    sangtriste
    Bof: dans ma vie il y a toujours eu des Musulmans avec qui je me suis bien entendu. Jamais des pratiquants certes, mais ça me gaverait que les non pratiquants se montent la tête à cause des islamistes et leurs amis journalistes.

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    sangtriste

    En réponse à l'ignoble pub du CCIF affichant les binettes de moslems enfoulardées se réclamant de notre Nation :

    .

    Halloween approche. Les corbeaux seront de sortie.

    cadmos Il y a une ENORME DIFFERENCE entre porter un uniforme religieux parce que l'on EST religieux (statut), et porter un uniforme religieux pour revendiquer...!
    Quel chrétien porterai une soutane s'il n'est pas curé ?!

    j'ai bien rigolé hier en regardant les infos au sujet de la FAC qui a retiré le truc , les merdias ont fait causer des étudiants , y'avait des étudiants males avec le collier de barbe façon djihadiste , bien entendu il était choquer , nous a sortie le refrain habituel de la haine envers les pauvres musulmans stigmatiser et blablablabla .

    Voile: un pompier refuse l'accès d'une caserne à des accompagnatrices.

    16/10/2019 03:28

    Les enfants devaient visiter la caserne de Creil, mais un officier a refusé l'accès à deux accompagnatrices portant un hijab.

    Les pompiers de la caserne de Creil ont refusé lundi une visite scolaire au motif que deux accompagnatrices, parents d’élèves, portaient un voile, a-t-on appris ce mardi 15 octobre auprès du SDIS de l’Oise, qui évoque une “erreur d’interprétation” et prône l’apaisement.

    Des élèves de l’école Louis Pergaud devaient visiter lundi le Centre de secours principal de Creil. Mais deux accompagnatrices se sont vu refuser l’accès à la caserne par un officier, ce qui a entraîné l’annulation de la visite.

    “Depuis, il y a eu des discussions entre cette dame et l’officier, qui a présenté ses excuses. Les choses se sont apaisées”, a annoncé Éric de Valroger, également vice-président LR du Conseil départemental de l’Oise. “Je ne prendrai pas de sanction contre cet officier”.

    Il a également précisé qu’un peu plus tôt lundi, une autre classe du même établissement scolaire avait pu effectuer la visite de la caserne mais qu’une de leurs accompagnatrices, portant un “tchador”, s’était vue refuser l’accès. Elle n’avait pas contesté cette décision et la visite scolaire s’était déroulée normalement, sans elle.

      tant que le peuple qui paye et qui n'en veut pas n'arrivera pas à se faire entendre par le peuple qui nous les imposent en nous faisant les poches pour cela , on en sortira pas

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      cris

      J'espère que les petits musulmans qui caillassent régulièrement les pompiers , présenteront eux aussi leurs excusent .

      Cardinal-Protodiacre 90 personnalités demandent au président de condamner une “agression”

      Elles étaient où après les attentats en France contre des civils, dont des femmes et enfants innocents ?

      Et elles étaient où ces "personnalités" quand la racaille a tenté de brûler vif des policiers dans leur voiture à Paris ?

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      cris

      cris Les enfants devaient visiter la caserne de Creil, mais un officier a refusé l'accès à deux accompagnatrices portant un hijab.

      Je conserve un excellent souvenir des sorties culturelles proposées par mes enseignants, jamais je n'ai visité une caserne de pompiers ni n'ai assisté à une séance rassemblant des élus politiques, en revanche, j'ai visité le musée de Cluny, N.D de Paris, le château de Chambord, le musée du Louvre - en plusieurs fois -, etc.
      De mon temps, pas si ancien, c'est ce que l'on nommait une sortie culturelle, aujourd'hui l'approche de notre culture, pourtant très riche d'enseignement dans toutes les matières artistiques, repose sur la visite de lieux pour le moins insolites, sinon sans aucun intérêt pour la sensibilisation aux Arts et à la compréhension de notre Histoire.

      Les Arts, l'Histoire de France, quels vilains mots à ne surtout pas prononcer devant une classe majoritairement garnie de moslems, encadrés de plus par leurs génitrices enfoulardées.

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      cadmos J'imagine bien une parent d'élève bonne soeur...

      On n'est plus dans la stratosphère, on est carrément dans une autre dimension où tout est complètement con.

      @haaaǃǃǃ#4228535 J'imagine bien une parent d'élève bonne soeur...

      Et moi, j'imagine mal une voilée bonne mère...

      cadmos

      Dans un pays de culture chrétienne une religieuse fait partie du décor français. De toute façon des religieuses avec un voile on n'en voit presque plus.
      Toujours aussi ridicule cradmos avec ses comparaisons débiles.

      france2100 Ceci il y a besoin d'être intolérant avec l’intolérance, sans aller dans l'interdiction d'interdire débile et ultra permissif.
      Le mot clef c'est il faut une liberté d'expression responsable.

        @tirésias#4227891

        Pas de signe religieux ostentatoire pour les élus

        Dans l’ordre hiérarchique institué par la laïcité, les croyances religieuses sont secondes par rapport aux obligations qui ont trait à la fonction politique. Ce qui vaut également pour les obligations afférentes à la fonction publique, concernant les agents de celle-ci.

        C’est aussi pour cela qu’il ne peut exister de délit de blasphème en France, même au nom du respect des religions.

        Les politiques doivent avant tout répondre à l’obligation de séparation du politique et du religieux dès lors qu’ils agissent dans l’exercice de leurs fonctions. Nos représentants n’ont donc pas à afficher de façon ostentatoire des signes religieux, qu'il s'agisse d'une kippa ou d'un voile. Le faire revient à destituer de son rang, par abaissement, le politique et, par survalorisation, les religions.

        On pourrait reprendre l’argument, qui m'a été avancé plusieurs fois, que si l'on est invité chez quelqu’un, on doit se plier à ses us et coutumes. Mais cet argument présuppose que l’entrée dans un lieu de culte en France nous fait sortir du territoire français, où s’appliquent les lois de la République. Pourtant, ce qui est privé ne peut pas constituer une zone de non-droit, ou de droit dérogatoire.

        Il faut insister sur le fait que ce n’est pas à titre privé que François Hollande et Manuel Valls se sont rendus à la synagogue ce dimanche 11 janvier.


        Vous avez vu une élue porter le voile islamique?

        Vous auriez pu, chère Madame Fatima E., retirer votre voile. Vous auriez mis tout le monde de votre côté (ou presque) et on aurait du mal aujourd’hui à réclamer un durcissement de la loi sur le voile.

        Mais voilà, vous ne l’avez pas fait, ce qui montre bien à quel point vous êtes bornée et butée sur des positions indéfendables mais dont vous ne pouvez pas, à l’évidence, sortir : ce qui montre bien que votre présence en France est contestable et doit être remise en question.

        Ou peut-être aviez-vous peur des foudres de votre mari à votre retour ? On sait que des femmes luttent contre le voile partout dans le monde musulman au péril de leur vie. Que certaines en meurent aujourd’hui.
        https://ripostelaique.com/merci-madame-fatima-e-grace-a-vous-on-reparle-du-voile.html

        Le meilleur moyen de stopper les débats est encore une fois l'application stricte des lois existantes. Le voile intégral étant interdit dans la rue, le jour où nous n'en verrons plus, le simple voile sera beaucoup moins dérangeant. Le jour où les polygames se verront refuser leur carte de séjour et seront renvoyés chez eux, le simple voile ne sera plus un souci...
        Mais c'est curieux, les mêmes qui crient que Fatima avait le droit de porter son voile et qu'il faut rester dans le cadre de la loi défendent les hors la loi qui alimentent les tensions.

        La voilée porte plainte parce qu'on lui a demandé de respecter la loi sur la laïcité

        La mère voilée prise à partie par un élu RN va déposer plainte

        Mercredi 16 octobre 2019 à 22:43

        Deux plaintes déposées
        Une première plainte sera déposée auprès du parquet de Dijon contre l'élu régional pour "violences commises en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique sur mineur et majeur" à caractère raciste.

        Une autre plainte pour "incitation à la haine" doit être déposée dans les prochains jours auprès du parquet de Paris, affirme Me Sana Ben Hadj Younes.

        Cette plainte visera à la fois l'élu régional RN, Julien Odoul, et Karine Champy, une ex-élue Front National accusée d'avoir pris à partie la femme voilée dans les couloirs du Conseil régional.

        https://rassemblementnational.fr/avec-nous-exigez-linterdiction-du-voile-en-sortie-scolaire/

        66% des Français sont favorables à l’interdiction du port du voile en sortie scolaire. Les données de ce sondage Ifop sont sans appel : les Français veulent défendre la laïcité face aux assauts du communautarisme islamiste.

        Personne n’est dupe : derrière ce prosélytisme religieux se cache la main du fondamentalisme islamiste. Les Français n’acceptent pas qu’un tel acte de sécession soit toléré dans l’Ecole de la République, au plus près de leurs enfants.

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          C'est joli.

          Pas sûre que ce serait pratique pour tous les jours.
          Heureusement que ça reste pour les fêtes locales traditionnelles. Maladroite comme je suis j'imagine le pire au travail.

          La femme voilée prise à partie par un élu régional RN va porter plainte pour "violences en réunion" et "incitation à la haine", annonce son avocate.

          La chroniqueuse Rosa Améziane Arhab s'en prend à chaque fois à ceux qui critiquent le port du voile, Zineb el Rhazoui a reçu aussi les foudres de cette chroniqueuse qui ne supporte pas la critique de l'islam .

          Zineb parlait de sa survie après Charlie ... et Rosa Améziane Arhab fourbissait ses armes.
          Puis elle est entrée en scène, comparant sans pudeur les insultes qu’elle recevait en tant que personne publique aux menaces de mort que reçoit Zineb, qualifiant les interventions de la journaliste de Charlie de « dérapages » et de « buzz ». Ainsi Zineb, telle une star de télé réalité s’amuserait simplement à faire du buzz. Comme si le passé n’avait pas suffi à prouver l’obscénité du parallèle ! Comme si Charlie n’avait pas existé et était renvoyé à une anecdote nabilesque… Comme si Zineb n’avait pas besoin d’une protection policière H24...
          https://nantes.indymedia.org/articles/44118

          L’image a fait le tour des réseaux sociaux : celle d’une femme réconfortant dans ses bras son propre fils, en pleine assemblée plénière du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, à Dijon, après son agression verbale par un élu d’extrême droite. Si l’image nous révolte tant, c’est parce que nous en sommes tous collectivement responsables.

          Ce vendredi 11 octobre, Julien Odoul, président du groupe d’extrême droite Rassemblement national, s’en est pris violemment en public à cette dame en s’adressant à la présidente de région, la socialiste Marie-Guite Dufay. « Madame la Présidente, je vais vous demander, s’il vous plaît, au nom de nos principes laïcs, de bien vouloir demander à l’accompagnatrice qui vient d’entrer dans cette salle de bien vouloir retirer son voile islamique. Nous sommes dans un bâtiment public, nous sommes dans une enceinte démocratique. Madame a tout le loisir de garder son voile chez elle, dans la rue, mais pas ici, pas aujourd’hui. (…) C’est la République, c’est la laïcité. C’est la loi de la République, pas de signe ostentatoire. (…) C’est une provocation insupportable, la vigilance citoyenne, c’est aussi ça, madame la Présidente. » Juste avant de quitter l’assemblée comme il avait menacé de le faire, l’élu d’extrême droite a lancé : « On ne peut pas débuter la session par une minute de silence pour les victimes de la Préfecture de police et accepter ça. »

          Disons-le d’emblée, comme l’a fait savoir, en pleine séance, la présidente du conseil régional : rien, ni dans le règlement ni dans la loi, ne justifiait que cette femme soit poussée vers la sortie de l’assemblée régionale. Elle avait tout à fait le droit d’y être, vêtue de son foulard. Cette scène, ces mots, ce comportement sont d’une violence et d’une haine inouïes. Mais par notre lâcheté, par nos renoncements, nous avons contribué, petit à petit, à les laisser passer, à les accepter.

          Ils sont d’une violence et d’une haine inouïes pour tous ces enfants de CM2, âgés d’à peine 10 ans, venus assister à cette assemblée plénière de rentrée du conseil régional dans le cadre de l’opération Ma République et moi. Objectif de la démarche : initier les enfants à la vie publique.

          Ils sont d’une violence et d’une haine inouïes pour ces instituteurs, soucieux, dans un souci de transmission du savoir, de donner à voir à leurs élèves l’illustration de l’exercice du débat démocratique. Quel fiasco…

          Ils le sont encore plus pour le fils de cette femme, qui a assisté, impuissant, à l’humiliation de sa propre mère. Devant la haine de l’attaque, il n’a pu s’empêcher d’éclater en sanglots dans ses bras, avant de quitter l’assemblée. Qui se soucie du mal qu’il a subi ? Qui se préoccupe du traumatisme que peut représenter une telle agression dans la tête d’un gamin d’à peine 10 ans ? Quelles seront les conséquences d’une telle humiliation publique si ce n’est renvoyer à cet enfant qu’il demeure un citoyen de seconde zone, indigne d’être pleinement français et reconnu comme tel ?

          Mais ils sont surtout d’une violence et d’une haine inouïes pour cette femme, victime d’un amalgame inacceptable associant la pratique de sa religion à l’attentat de la Préfecture de police de Paris. Une femme publiquement piétinée, chosifiée, déshumanisée, devant le groupe d’enfants qu’elle accompagnait bénévolement. Comme si elle pouvait être écrasée, bafouée dans sa dignité, sans que cela ne suscite la moindre indignation collective digne de ce nom. C’est pourtant ce qu’il s’est produit.

          Où est l’indignation générale ?

          Certes, quelques élus, des personnalités, des anonymes aussi ont usé de leur voix sur les canaux de leurs réseaux sociaux pour dire leur colère, mais où est l’indignation générale ? Où sont les émissions de télévision, de radio, hormis quelques billets et tribunes comme celle-ci pour condamner cette agression ? Où est la parole publique de premier niveau, celle de nos élus, des partis politiques, celle des ministres, celle du président de la République pour refuser l’inacceptable?

          De fait, l’émotion légitime qui devrait s’exprimer dans l’opinion est aux abonnés absents : trop nombreux sont ceux qui se disent : « Elle l’a bien cherché », « Nous ne sommes plus chez nous », ou qui légitiment les stigmatisations envers les musulmans au nom de la lutte contre la radicalisation et le terrorisme. N’est-ce pas le ministre de l’intérieur lui-même, Christophe Castaner, qui a listé à l’Assemblée nationale « la pratique régulière et ostentatoire de la prière » et « la pratique exacerbée de la religion en période de ramadan » comme autant de « signes de radicalisation » à signaler, alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins que de conduites religieuses tout à fait banales chez les musulmans pratiquants ?

          Ne nous y trompons donc pas. L’extrême droite a fait de la haine contre les musulmans un outil majeur de sa propagande, mais elle n’en a pas le monopole. Des membres de la droite et de la gauche dites républicaines n’hésitent pas à stigmatiser les musulmans, et en premier lieu les femmes portant le voile, souvent « au nom de la laïcité ». Le ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, voit ainsi dans le port du foulard par des mères d’élèves accompagnant bénévolement des sorties scolaires, en soutien des équipes enseignantes, du « prosélytisme » et du « communautarisme ». Interrogé par BFM-TV sur l’agression de la mère d’élève à Dijon par l’élu RN Julien Odoul, le ministre a certes condamné son comportement, mais a tout de même affirmé : « Le voile n’est pas souhaitable dans notre société. » N’est-ce pas ici l’illustration même d’une stigmatisation assumée jusqu’au plus haut niveau de l’Etat ?

          La laïcité, consacrée par la loi de 1905, c’est certes la séparation de l’Etat et du religieux, mais c’est aussi la liberté de croire ou de ne pas croire, la liberté d’exercer sa foi ou de ne pas l’exercer, la liberté de manifester ses convictions dans les limites du respect de l’ordre public. Malgré les nombreuses alertes des associations et des militants, malgré le travail de déconstruction des universitaires, nous avons trop longtemps laissé la voie libre aux interprétations dévoyées du principe de laïcité, semant la division et la haine. Cette femme et son fils en payent le prix aujourd’hui, comme d’autres avant eux, mais qu’en sera-t-il demain ?

          Jusqu’où laisserons-nous passer ces haines ? Des plateaux télé dans leur course au buzz et à l’audience permanente, de nos rangs d’élus et de décideurs avides de gains électoraux, sans parler de nos sphères privées elles aussi imprégnées d’intolérances, jusqu’à quand allons-nous accepter que des citoyennes, des citoyens soient insultés, agressés, attaqués, stigmatisés en raison de leur religion ? Jusqu’à quand allons-nous accepter que la laïcité, socle de notre République, soit instrumentalisée pour le compte d’une vision ségrégationniste, raciste, xénophobe, mortifère de notre société ? Acceptons-nous de nous laisser sombrer collectivement ou disons-nous stop maintenant, tant qu’il est encore temps ?

          Hier, Latifa Ibn Ziaten, mère du militaire Imad Ibn Ziaten, victime des attentats de Mohamed Merah, huée lors d’un colloque à l’Assemblée nationale en raison de son foulard ; hier encore, une femme de 24 ans, portant elle aussi un foulard, poignardée devant son conjoint et leurs enfants à Sury-le-Comtal (Loire). Aujourd’hui, cette femme humiliée dans une assemblée de la République française. Aujourd’hui encore, l’université de Cergy-Pontoise qui demande à son personnel de lui faire remonter les « signaux faibles » de détection de radicalisation d’étudiants ou de collègues, ciblant uniquement les personnes de confession musulmane.

          Parmi ces signaux : « l’arrêt de consommation de boissons alcoolisées », « l’arrêt d’utilisation des réseaux sociaux », « le port de la barbe sans moustache » ou encore « l’intérêt soudain pour l’actualité nationale et internationale »… Depuis, l’université a dit regretter « d’avoir pu heurter ou choquer », mais le mal est de nouveau fait. Et des questions demeurent : qui est à l’initiative de ce procédé infâme et gravissime ? A quand une enquête ? Est-ce donc cela « la société de la vigilance » qu’appelle de ses vœux le président de la République : un fichage et des dénonciations de personnes de confession musulmane au sein d’une institution publique française ?

          Jusqu’où pouvons-nous tolérer encore ces discours et actes de haine contre une partie de nos concitoyens ? Que laisserons-nous passer demain ? Qu’expliquerons-nous à nos enfants lorsque, dans quelques années, ils nous demanderont, à juste titre : « Qu’aviez-vous fait ? »

          Nous, personnalités d’horizons divers, unies par la devise de notre République, « liberté, égalité, fraternité », attachées au principe de laïcité tel qu’inscrit dans la loi, demandons urgemment au gouvernement français et au président de la République, Emmanuel Macron, de condamner publiquement l’agression dont cette femme a été victime devant son propre fils ; de dire, avec force, que les femmes musulmanes, portant le foulard ou non, et les musulmans en général ont toute leur place dans notre société ; de refuser que nos concitoyens musulmans soient fichés, stigmatisés, dénoncés pour la simple pratique de leur religion et d’exiger solennellement que cessent les discriminations et les amalgames envers une partie de notre communauté nationale. Il en va de l’avenir de notre pays.

          Premiers signataires :

          Mouloud Achour, journaloiste et animateur TV, Leïla Alaouf, journaliste ; Zahra Ali, sociologue ; Sarah Al-Matary, maîtresse de conférences en littérature française ; Hakim et Mustapha Amokrane, artistes membres du groupe Zebda ; Salah Amokrane, responsable associatif ; Rebecca Amsellem, fondatrice de la newsletter « Les Glorieuses » ; Chadia Arab, géographe, chercheuse au CNRS ; Meziane Azaïche, directeur du Cabaret sauvage ; Pénélope Bagieu, dessinatrice ; Béatrice Barbusse, sociologue ; Lauren Bastide, journaliste et productrice ; Julie Billy, productrice ; Isabelle Boni-Claverie, réalisatrice et scénariste ; Yassine Bouzrou, avocat ; Samira Brahmia, chanteuse et comédienne ; Isabelle Cambourakis, éditrice et enseignante ; Casey, artiste ; Samia Chabani, responsable associative ; Amelle Chahbi, comédienne, réalisatrice ; Chadia Chaibi-Loueslati, dessinatrice ; Hugues Charbonneau, producteur ; Aya Cissoko, auteure, triple championne du monde de boxe ; Valérie Damidot, animatrice TV, Laurence De Cock, historienne ; Cécile Delarue, Journaliste ; Christine Delphy, sociologue et directrice de recherches CNRS ; Vikash Dhorasoo, ancien footballeur, parrain d’Oxfam ; Rokhaya Diallo, journaliste et réalisatrice ; Karima Dirèche, historienne, directrice de recherche au CNRS ; DJ Snake, artiste ; Nassira El Moaddem, journaliste ; Jules Falquet, sociologue, féministe ; Eric Fassin, sociologue, professeur à l’université Paris-8 ; Marina Foïs, actrice ; Sébastien Fontenelle, journaliste ; Geneviève Garrigos, défenseure des droits humains ; Florence Gastaud, productrice ; Romain Gavras, Réalisateur, Amandine Gay, réalisatrice ; Sébastien-Abdelhamid Godelu, journaliste, animateur TV ; Alain Gresh, journaliste ; Faïza Guène, autrice ; Nora Hamadi, journaliste ; Kaoutar Harchi, Sociologue et écrivaine, Nadia Hathroubi-Safsaf, rédactrice en chef du Courrier de l’Atlas, auteure, élue locale ; Jérôme Jarre, influenceur humanitaire ; Marion Jobert, juriste ; Georgi Joseph, basketteur professionnel ; Léopold Lambert, rédacteur en chef de The Funambulist ; Laurence Lascary, productrice ; Michel Leclerc, réalisateur ; Titiou Lecoq, journaliste et autrice ; Gwenaëlle Lenoir, journaliste ; Matthieu Longatte, humoriste ; Baya Kasmi, scénariste, réalisatrice ; Raphaël Kempf, avocat ; Kyan Khojandi, auteur ; Sofia Manseri, conseillère municipale d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) ; Tonie Marshall, réalisatrice, productrice ; Madjid Messaoudene, élu de Saint-Denis ; Guillaume Meurice, humoriste ; Marwan Mohammed, sociologue ; Rosa Moussaoui, grand reporter au journal L’Humanité ; Ron Mvouika, basketteur professionnel ; Géraldine Nakache, actrice et réalisatrice ; Nekfeu, artiste ; Judith Nora, productrice ; Danièle Obono, députée (La France insoumise) ; Océan, auteur et comédien ; Ugo Palheta, sociologue ; Cyril Pedrosa, auteur ; Matt Pokora, Artiste, Mabrouck Rachedi, écrivain ; Elisa Rojas, avocate ; Marina Rollman, humoriste ; Aurélie Saada, chanteuse ; Ludivine Sagnier, actrice, Eros Sana, militant des quartiers populaires ; Céline Sciamma, réalisatrice, scénariste ; Fabienne Servan-Schreiber, productrice ; Patrick Simon, sociodémographe à l’INED ; Maboula Soumahoro, enseignante-chercheuse à l’université de Tours ; John Sulo, animateur TV ; Hélène Sy, présidente de l’association Cekedubonheur ; Omar Sy, acteur ; Amara Sy, basketteur professionnel ; Syra Sylla, journaliste sportive ; Ilhame Taoufiqi, grand reporter TV5 Monde ; Sylvie Tissot, sociologue, université Paris-8 ; Aïda Touihri, journaliste et productrice ; Shahin Vallée, économiste ; Naïma Yahi, historienne ; Raphäl Yem, animateur TV ; Camille Zabka, autrice ; Rébecca Zlotowski, réalisatrice.

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            katou Nous, personnalités d’horizons divers, unies par la devise de notre République, « liberté, égalité, fraternité », attachées au principe de laïcité tel qu’inscrit dans la loi,...

            « liberté, égalité, fraternité » et « laïcité depuis 1905 » le tout dans l'unité (et non le communautarisme)

            ... Bref, ces personnalités d’horizons divers ont éludé le premier des principes républicains, et le plus important, le précepte de l'indivisibilité (du "faire bloc").

            Argumentaire de jean-gauchiss:

            Lundi: "La théorie du grand remplacement est une fake news propagée par la fachosphère".

            Mardi: "On est bien obligé de prendre des femmes voilées pour accompagner les sorties scolaires dans certains endroits, puisqu'il ne reste plus que ça".

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              jipi Lundi: "La théorie du grand remplacement est une fake news propagée par la fachosphère".
              Mardi: "On est bien obligé de prendre des femmes voilées pour accompagner les sorties scolaires dans certains endroits, puisqu'il ne reste plus que ça".

              ... lol ... le "par dépit" ... c'est une forme d'indivisibilité aussi, mais une indivisibilité Orientale et non Occidentale ... donc c'est un aveu, le remplacement est déjà consommé dans certaines zones de notre république française, la partition est déjà faite ;-)

              jipi

              Ce que tu dis est la réalité d'aujourd'hui mais chuuuuuuuuuuuuuuuuuuutttt car stigmatisation, amalgame, ....

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              katou

              Il suffit d'un bref coup d'oeil sur la liste des signataires pour constater qu'ils portent majoritairement des patronymes arabes, que, parmi les quelques "personnalités" du monde du spectacle, engagées dans le combat pour l'islamisation de la Francie, figurent d'illustres inconnus et des ratés du style Matt Pokora, et, sans surprise, quelques sociologues islamo-gauchistes.

              Sinon, parmi les signataires arabes, j'ai relevé la présence d'un éminent membre des Frères musulmans, un certain Marwan Muhammad, le fondamentaliste mahométan d'origine égypto-algérienne créateur inspiré (par Allah) du CCIF.