Dettes et déficits : faire payer les autres
Pour nos enfants endettés de demain et surtout pour le plus grand profit des politiciens d’aujourd’hui, oublions déficits et dettes, sauvons la planète en 2050 !
Le dernier budget équilibré date de 1974.
Tous les politiciens au pouvoir depuis ont systématiquement, avec application, ténacité et persévérance, creusé le déficit public.
Aucun n’a pu, ou voulu, contenir les dépenses publiques et encore moins les réduire.
Le fait que le politicien se veuille de gauche ou de droite ne change rien.
Le fait qu’il soit sympathique ou pas, qu’il tapote le cul des vaches ou pas ne change rien non plus.
QUI EST RESPONSABLE DU DÉFICIT PUBLIC ?
Les politiciens ont toujours trouvé des responsables extérieurs à cette situation.
LA SPOLIATION LÉGALE À L’ORIGINE DES MAUX ÉCONOMIQUES ET SOCIAUX
Les hommes de l’État se sont embourbés depuis des dizaines d’années dans une politique de spoliation légale qu’ils ont voulue.
Tout à sa préoccupation de conserver le pouvoir et pour ne pas réveiller les payeurs actuels qui votent et pourraient l’éjecter, l’oligarchie les a endormis par des promesses, des bobards et des distributions d’avantages aux uns aux dépens des autres et vice-versa.
UNE DETTE NATIONALE POUR LES GÉNÉRATIONS À VENIR
Simultanément elle a reporté sur les générations futures la facture de sa politique.
Cette fuite est aujourd’hui accélérée et encouragée par la politique des taux d’intérêts négatifs.
Il est à noter que, dans ce dossier, épargner des souffrances à nos enfants et petits- enfants n’entre pas en ligne de compte puisque c’est volontairement que ce fardeau a été posé sur leurs épaules.
LA POLITIQUE DE LA PEUR POUR DÉTOURNER L’ATTENTION
Un bon conditionnement pour enfoncer le clou et voilà des centaines de milliers de jeunes dans les rues pour incarner leur souffrance, et « concrétiser l’urgence climatique ».
Cela s’appelle le mal investissement, un gaspillage gigantesque qui accroît les problèmes économiques et sociaux. Nous sommes dans un cercle vicieux.
Les difficultés économiques, la souffrance morale, la perte de repères culturels, la dislocation sociale, le terrorisme islamique sont des faits bien réels en France aujourd’hui.
Les régler, assainir la situation, repartir sur des bases solides aurait été plus judicieux.
Ce n’est pas la voie qui a été choisie.
Les déficits et la dette ont encore de beaux jours devant eux.
Gageons que l’effondrement qu’ils entraîneront est bien plus certain que la catastrophe climatique.