LA SHOAH CATALANE C'EST MADRID, C'EST L'ESPAGNE, C'EST MARIANO RAJOY.
La shoah bretonne c'est la France, la shoah catalane, c'est l'Espagne. La constitution catalane, c'est le droit international.
Même histoire, mêmes persécutions, même racket fiscal étalé sur plusieurs siècles, même exploitation des hommes, de l'agriculture, des richesses naturelles, de la marine, des marins et des soldats, mêmes humiliations, mêmes tentatives d'acculturation, même fureur, malgré les persécutions, dans la conservation du sentiment national : la Catalogne et la Bretagne sont des alliés idéaux pour reconstruire leurs pays et leurs économies dans l'Europe nouvelle et dans le monde qui se dessinent. Pour la Catalogne, c'est virtuellement fait. Pour les Bretons, une grande partie du capital national est perdu, notamment la langue, qui est quasi morte. Mais ce qui reste, est phénoménal ; beaucoup peuvent nous envier, en particulier cette pauvre France, en lambeaux, à force d'avoir confié le pouvoir à des brêles et à des pédalos.
La Shoah bretonne, c'est la France. La Shoah catalane c'est l'Espagne.
L'Espagne n'est pas une nation : c'est un agrégat de peuples divers et distincts, rassemblés par la force, la persécution, l'humiliation, contre leur gré, comme le furent les nations martyres de l'« hexagone » dénommé par abus de langage , en 1789, « LA » France.
La Bretagne, l'Alsace, la Corse, le Pays Basque, la Savoie, Nice, ne sont pas la France : ce sont des nations à part entière. La Catalogne, le pays Basque, l'Andalousie, la Galice, les Baléares, les Canaries, ne sont pas l'Espagne : ce sont de vraies, d'authentiques nations exemplaires, ce que n'est pas la Castille colonisatrice, qui a annexé les autres, et tenté, même, d'asservir le Portugal.
TOUT ÊTRE HUMAIN A LE DROIT SACRE A SON IDENTITE PERSONNELLE. Il a le droit d’être lui même, de penser ce à quoi veut adhérer – à condition que les droits qu'il revendique pour lui-même ne nuisent pas aux autre -, et aux valeurs qui sont les siennes. Il a le droit d’avoir une identité familiale. Par dessus tout, il a le droit à son identité nationale.
Les malades mentaux qui, à Paris, au cours de ce qu’on appelle encore – par dérision -, la « révolution française », ont prétendu anéantir les droits et l’identité nationale des Bretons, des Corses, des Basques, des Alsaciens, ont violé et violenté d’une manière éhontée les consciences, torturé et assassiné des centaines de milliers de personnes humaines au nom de leurs principes stupides, essentiellement violents, et violateurs du droit des gens. Par bonheur, avant qu'ils ne commettent de nouveaux crimes, un grand nombre ont été expédiés vers d'autres paradis, par la Sainte Guillotine. Que Dieu leur pardonne. S'il le peut !
Les malades mentaux de la péninsule ibérique sont partout, mais essentiellement à Madrid, pas à Barcelone. C'est la loi des pays coloniaux : les plus forts frappent les plus faibles : malheur aux vaincus.
La loi des peuples, la normalité, monsieur Rajoy, ce n'est pas vous, c'est encore moins ce texte ce que Madrid a réussi à imposer aux peuples de votre péninsule après la mort de votre « caudillo » de sinistre mémoire : Franco.
La constitution des Nations, monsieur Rajoy, ce sont les lois internationales, les principes généraux du droit, le droit européen, les principes du droit naturel le droit sacré d'appartenir à sa communauté humaine charnelle, construite par l'histoire, le droit intangible de décider de leur destin, non pas celle décrétée par quelques idéographes, proches le plus souvent de l'ignorance, sinon de la débilité.
La prison, monsieur Rajoy, ce n'est pas pour les ministres catalans nommés dans leurs fonctions par les lois de la démocratie. La désobéissance, ce n'est pas eux, C'EST VOUS. La prison, ce n'est pas pour eux, c'est pour vous.
Il se peut, il ce pourrait que ces peuples veuillent vivre dans un ensemble « Espagnol » reconstitué. Ce sera à eux de décider, non à vous : vous êtes à leur service – leur esclave, et non l'inverse. Ce n'est pas à vous, monsieur Rajoy, de décider pour, c'est à eux de décider quand, comment, pourquoi, selon quelles modalités ils souhaitent ou ne souhaitent pas s'assembler et reconstruite, si telle est leur volonté, les espaces géo-politiques actuellement appelés « L'Espagne », et « l'Europe ».
Avec de bonnes recommandations, vous pourrez sans peine obtenir une cellule confortable dans ce qu'il reste du système carcéral franquiste. Là, bien à l'ombre, bien au chaud, bien nourri, vous pourrez lire tout à loisir le LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, qui n'est pas seulement une histoire abrégée de la Bretagne, mais un authentique traité de science politique, diffusé dans le monde grâce à nos amis, au premier rang desquels les Russes, les habitants du Donestk, les Kabyles, les Sahariens, et quelques autres, dont les malheureux Tibétains, persécutés par les Chinois, ceux-ci admirés dans leur « œuvre civilisatrice » de destruction par le célèbre Jean-Lux Mélenchon, réchappé du communisme – car il vit toujours.
Livre bleu de la Bretagne : https://www.google.fr/search?gs_ivs=1&q=livre+bleu+de+la+Bretagne
Histoire de la Bretagne pour les nuls et les collabos : https://www.google.fr/search?gs_ivs=1&q=Histoire+de+la+Bretagne+pour+les+nuls+et+les+collabos
La Shoah bretonne : https://www.google.fr/search?gs_ivs=1&q=la+Shoah+bretonne
Jean-Luc Mélenchon, l'idiot utile : https://www.google.fr/search?gs_ivs=1&q=M%C3%A9lenchon+m%C3%A9lennec
https://www.google.fr/search?q=m%C3%A9lennec+Catalogne&safe=off&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ved=0ahUKEwj7g66q7sLXAhUFbVAKHaulBTUQsAQIYA&biw=1205&bih=746
LOUIS MELENNEC, docteur en droit et en médecine, ex-consultant près le Médiateur de la république française, historien et théoricien de l'émancipation de la Bretagne.