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Réponse à RestaurationRepublique du 12-9-2019
Un tel projet se doit d’être basé sur la confiance, et l’on sait depuis un certain temps que la confiance envers les politiques est en berne.
Je ne dis pas que c’est voué à l’échec, je dis simplement que ce sera compliqué.
Mais ne soyons naïfs, en effet la valeur du point sera toujours de l’imprévu en fonction du bien être ou pas de notre économies, donc les inégalités seront encore plus probantes dans l’avenir que maintenant, avec un risque non négligeable de voir sa pension de retraite fondre comme chaque gouvernement essaye de le faire.
Il a fallu les Gilets Jaunes et surtout les casseurs pour que le gouvernement revienne sur sa position de ne plus indexer les retraites sur l’inflation.
Le problème est que tout le monde sait, sauf peut-être le gouvernement, que la situation des retraites se situe au niveau des actifs, c’est à dire ceux qui travaillent et plus précisément à temps complet.
Si nous rapatrions nos emplois offerts aux pays à bas coût qui ont façonné une dominante perverse et bien le problème du chômage, de dépenses publiques, de retraite n’auront plus cette hantise du présent et de l’avenir.
Alors bien entendu que les gouvernements quelqu’ils soient essayent de remédier au problème des retraites en faisant travailler plus, en augmentant les cotisations et tout dernièrement en fondant le montant sur une retraite à point dont la valeur du point risque d’être souvent en berne.
Néanmoins il y a déjà bien longtemps que les régimes spéciaux auraient dû disparaître, non pas de la manière que préconise le gouvernement actuel mais en imposant sur tous les rentrants de la fonction publique une retraite calculée comme pour le privé, car nos gouvernements qui veulent à chaque instant tout tirer vers le bas n’ira pas donner au privé ce qu’ils donnent à la fonction publique.
Si les gouvernements d’il y a 30 40 ans avait ressentit ce besoin nous n’en serions pas dans les difficultés du présent.