Il est intéressant de noter que ces dernières semaines le PIB mondial a reculé de 20% mais les émissions de seulement 10%. Peut-être avons-nous en priorité stoppé les activités les moins émettrices mais c'est à creuser.
Plus flagrant : la pollution atmosphérique des grandes villes n'a pas beaucoup reculé malgré un effonrement de la circulation automobile. Comme quoi les centrales au charbon allemandes valent bien nos diésels.