Transformés en sacs, des bateaux pneumatiques de migrants trouvent une seconde vie à Berlin

L'entreprise mimycri embauche des réfugiés.

Penché sur sa machine à coudre dans l'atelier de la petite entreprise berlinoise mimycri, Khaldoun Alhussain fait glisser sous les aiguilles un pan de matière plastique grise, tout en appuyant sur la pédale de son engin. Une bordure de fil jaune prend forme sur l'épais matériel qu'il caresse d'une main experte.

Abandonnés par des migrants à leur arrivée sur les plages des îles grecques, des canots pneumatiques trouvent une seconde vie à Berlin où ils sont transformés par des réfugiés en sacs et cabas vendus sur internet.

    Plariste-le-Revanite se sont pas des réfugiés politique mais des colonisateurs de l'europe , ils sont gras comme des moines , habiller avec des fringues a 500 euros , smartphone etc ......

    cris Le jour ou la France sera une dictature fasciste et que vous fuirez le pays.... Vous comprendrez la différence.

    Après réfugiés ça ne dit pas s'ils sont régularisés ou pas.

      Plariste-le-Revanite Après réfugiés ça ne dit pas s'ils sont régularisés ou pas.

      Bien sûr que non. On va pas nous le dire.

      cris Bien courageux de votre part, bienvenue dans la résistance, (faudra porter ses couilles, car vous serez peut-être brulante de désir mais dans grand nombre de cas vous serez condamnés à l'impuissance.)

      cris Ho on s’imagine ebacoup de chose, surtout après avoir subit la violence, mais quand il faut riposter... l'héroïsme s'estompe très vite.

      « Strophes pour se souvenir »

      Vous n’avez réclamé la gloire ni les larmes
      Ni l’orgue ni la prière aux agonisants
      Onze ans déjà que cela passe vite onze ans
      Vous vous étiez servis simplement de vos armes
      La mort n’éblouit pas les yeux des Partisans

      Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes
      Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants
      L’affiche qui semblait une tache de sang
      Parce qu’à prononcer vos noms sont difficiles
      Y cherchait un effet de peur sur les passants

      Nul ne semblait vous voir français de préférence
      Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant
      Mais à l’heure du couvre-feu des doigts errants
      Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE
      Et les mornes matins en étaient différents

      Tout avait la couleur uniforme du givre
      À la fin février pour vos derniers moments
      Et c’est alors que l’un de vous dit calmement
      Bonheur à tous Bonheur à ceux qui vont survivre
      Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand

      Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses
      Adieu la vie adieu la lumière et le vent
      Marie-toi sois heureuse et pense à moi souvent
      Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses
      Quand tout sera fini plus tard en Erivan

      Un grand soleil d’hiver éclaire la colline
      Que la nature est belle et que le cœur me fend
      La justice viendra sur nos pas triomphants
      Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline
      Et je te dis de vivre et d’avoir un enfant

      Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent
      Vingt et trois qui donnaient leur cœur avant le temps
      Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant
      Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir
      Vingt et trois qui criaient la France en s’abattant.

      merl1 Vous, vous voyez un gas lire Nietzsche vous réciter que le paganisme c'est bien le christianisme c'est mal appeler à la guerre civile chez les pauvres et faire l’apologie de Pétain.

      Votre conclusion : il est pas facho.

        merl1 Bah tu fais de l'anti-racisme biddon d'une part, et de l'autre tu stigmatise les population issues de l’immigration, et quand tu parle des travailleurs clandestins tu n'évoque jamais les patrons. Dans els deux cas tu cumule un max les amalgames...

          Plariste-le-Revanite Bah tu fais de l'anti-racisme biddon d'une part, et de l'autre tu stigmatise les population issues de l’immigration

          Bah non, je suis un immigré récent. Mes ancêtres ont posé les pieds en Armorique il y a seulement 15 siècles.