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Il est question de ces listes et des intentions de la justice américaine de les saisir depuis au moins trois ans. Il est bien évident que les gens connus, donc riches, présents sur ces connaissements, se seront arrangés depuis belle lurette pour que ces documents n’existent plus.
En outre, Epstein était un milliardaire en affaire avec des tas de tas. Et à ce niveau des affaires les invitations des uns dans les propriétés des autres font partie des choses courantes. L’on pouvait accepter d’aller passer un week-end chez Epstein sans que ce soit forcément pour se livrer à des activités pédophiles. En dehors des culottes des jeunes filles, Epstein se livrait à de véritables activités professionnelles et financières.
Il suffit aux personnes concernes de déclarer que leurs séjours chez Epstein n’avaient que des buts de négociations financières, et personne ne pourra prouver le contraire. Pas Epstein. Et pas leurs agendas personnels évidemment purgés depuis deux ou trois ans.
En outre, selon la législation américaine, toute assertion devrait être attestée par un témoignage humain. Il n’y aurait pas beaucoup de ces demoiselles qui accepteraient de venir expliquer qu’elles allaient de temps en temps, contre cadeaux et finances, se faire tripoter le croupion durant deux ou trois jours par des messieurs nettement plus âgés qu’elles.
Et si quelques cas sont remontés et mis sur la sellette, le prince anglish par exemple, c’est parce que des filles concernées ont été retrouvées et ont accepté de parler. Il est peu probable qu’il y en ait beaucoup d’autres.
