Du tout, ce que je comprends en réalité, c'est que de réaction, il n'y en a pas.
Tu ne défends pas ton texte, dont acte.
Je ne poursuis pas (j'abandonne), les commentaires que je pourrais faire là-dessus ne pouvant que conforter ma position de vieux con, avec des principes d'un autre âge - l'âge médiéval, pour être plus précis - , sur le fait qu'on est responsable de ce qu'on écrit, qu'il est à préférer qu'on y attache soi-même quelque créance, et qu'on ne bluffe pas l'interlocuteur, pas davantage qu'on le congédie avec des procédés terroristes.