50, puis 100, puis 350 illégaux, des Albanais, des Angolais, des Géorgiens, des Guinéens et autres Tchétchènes à prendre en charge par l'Etat, donc par le contribuable.
Quoique le freluquet et son incompétent de l'Intérieur, considérant sans doute que l'accueil des populations allogènes ne coûte pas un "pognon de dingue" aux Gaulois, se fassent fort, à chaque retour d'expédition des bateaux négriers, d'accueillir un maximum de clandos.
Qu'importe si nos services publics - hôpitaux, Ehpad publics, etc. - faute de budget, partent en capilotade, qu'importe si la paupérisation des travailleurs et l'abandon des territoires ruraux aient provoqué la révolte des gilets jaunes; qu'importe si la pénurie de logements locatifs fabrique des exclus contraints de rejoindre la triste cohorte des SDF; qu'importe si les banlieues, essentiellement peuplées de kamisés communautarisés, aient de facto fait sécession, exigeant toutefois les mêmes droits que le "francaoui" , voire des droits spécifiques inhérents à la religion d'Allah, et trouvant naturel de bénéficier des acquis sociaux obtenus de haute lutte par nos anciens; qu'importe notre dégringolade régulière au classement PISA ... puisque la Francie est riche, très riche de ses contribuables Gaulois, dont la quasi moitié d'entre eux peinent à boucler les fins de mois, quitte à emprunter, quand ils n'avouent pas vivre à découvert, et puisque, comme l'affirma le freluquet, "il n'y a pas de culture française" .
Quand même ! Le Gaulois réfractaire aurait une fâcheuse tendance à râler, de quoi se plaindrait-il, alors que les clandos s'incrustent en Francie avec de louables intentions, le Coran au coeur et les poches vides : à vot' bon coeur, m'sieurs dames, ils n'ont rien, vous n'avez pas grand chose, donnons-leur tout.
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Koikidisent ?
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Rennes : pas de solution avancée pour loger les 350 migrants du campement des Gayeulles.
La préfecture d'Ille-et-Vilaine a donc fini par organiser une réunion ce vendredi 30 août après-midi.
Elle a proposé de chercher des hébergements pour les migrants ayant le statut de demandeur d'asile, expliquant que "à l'exception des personnes vulnérables, les personnes qui ne sont pas "sous statut" (en cours d'examen d'une demande d'asile ou qui ont obtenu l'asile) n'ont pas vocation à être hébergées par l'Etat, selon "la loi pour une immigration maîtrisée" du 10 septembre 2018".
Ce à quoi la Ville de Rennes répond que "c'est la situation de détresse des personnes qui doit déterminer la prise en charge par l'État, et non leur situation administrative".
Les Albanais, Angolais, Géorgiens, Guinéens et Tchétchènes qui campent au Gayeulles depuis deux mois sont en effet rejoints par les anciens occupants de l'immeuble squatté dans le quartier du Blosne.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/squat-ferme-nouveaux-migrants-logement-rejoignent-campement-parc-rennais-1715851.html