Je suis un ancien de La Capuche...Et chaque fois que je descends à Grenoble, moins en ce moment, certes, je ne porte pas le même regard que ceux qui voient la ville toute entière comme une cour des miracles où l’état de droit est astreint à faire le constat d'un misérabilisme ambiant dont les délinquants seraient les promoteurs...
C’est vrai qu’aujourd’hui, je ne fais que la traverser, néanmoins en passant par les quartiers traditionnels où la délinquance fleurissaient à une époque où la justice condamnait davantage, à de la prison ferme, des voyous que la police arrêtait.
Mais ce n’était aussi pas la même délinquance, ni les mêmes flics...Et puis des types comme Piolle, ici ou ailleurs,
s’ils n’existaient pas dans les années 60/70/80, personne n’aurait eu la fâcheuse idée de les inventer...
Pour en revenir à Grenoble, j’en prends et j’en laisse.