Si le Conseil constitutionnel ouvertement pro-migrants (comme tout le reste), a inventé une subtilité juridique d'exonération des poursuites pénales en raison d’une aide humanitaire apportée sans contrepartie, elle ne vaut que pour l’aide au séjour et à la circulation d’un étranger mais ne s’applique pas à l’aide à l’entrée sur le territoire national.
Or, Cédric Herrou a reconnu s’être rendu régulièrement à Vintimille, de l’autre côté de la frontière, pour prendre en charge des migrants afin de les conduire à son domicile
Cette décision de "justice" est donc très biaisée car non appliquée pour l’aide à l’entrée sur le territoire national