L'attaque de Bernal dans le Galibier est celle d'un coureur hors norme. C'est lui le grand vainqueur de l'étape.
Les perdants sont les deux français : Alaph qui affiche de jour en jour ses limites, et si Movistar avait vraiment fait la guerre dans l'Izoard, son maillot était perdu, et puis Pinot, beaucoup moins fort aujourd'hui, incapable de suivre Bernal.
Le favori du Tour s'appelle Bernal, logiquement lui et Thomas devraient faire 1 et 2 à Paris. Sauf si Pinot revient dans le coup et s'intercale.
Toutes mes félicitations à Movistar pour avoir roulé à bloc sur Quintana : sans cette lumineuse équipe, il serait ce soir sur le podium. Demain, promis, Valverde mène la chasse contre Landa, échappé.