donc le Brexit n'est que reculé mais pas stoppé, et il aura bien lieu bientôt, mrd alors, qu'allons nous faire à Bruxelles, maintenant que l'anglais va y être banni, ou mis sous copyright par les anglophones de plein droit?
payer des royalties?
ou l'interdire?
ou remplacer par le latin?
ou par l'e° (non, pitié, pas cette langue polonaise qui est un gâchis retoqué sur notre bonne langue française! en 1898, j'ai une méthode d'e° de cette date, traduite en français, mais avec la caution de Zamenhof qui connaissait bien notre bon vieux français, puisqu'il l'a utilisé pour bricoler son e°: tout le vocabulaire ou presque était du français déformé... ok, il y a eu une réforme: mais, l'idée est claire, il fallait "judifier" (rendre juif) le français en y superposant des lettres nouvelles, compliquant la langue, d'origine juive)...
ou par l'interlingua, à titre de simple exemple (les interlinguistes furent le seul groupe non politique à avoir traduit je crois intégralement le volumineux projet de constition européenne, que, nous, en France, avons refusé par référendum, chance que le président judéo-chrétien Sarko nous a volée ensuite en prétendant que son élection directe annulait les référendums français...)
en fait, nous sommes dans la mrd jusqu'au cou, car après le Brexit, plus d(e justification quelconque de maintenir l)'anglais comme langue de travail ni à Strasbourg, ni à Bruxelles...
heureusement que nous avons !