Moi et Dieu.
Moi, petit homme sans religion, sans maitre, je vais te dire qui est Dieu.
Dieu est un mot, un mot que j'ai gommé comme des millions de personnes qui ont décidé d'être libres de tout chantage, de toute corruption et de toute amitié.
Dieu je l'ai déjà vu dans le passé, en tuant, en maltraitant, en handicapant, en divisant le monde qu'il a créé.
Dieu veut revenir comme si rien ne c'était passé auparavant, il veut revenir avec le sourire, "Venez humanité, suivez-moi pour vivre selon les lois que je vous ai imposé."
Dieu, je l'ai gommé, je l'ai renié, je l'ai tué comme des millions de personnes avant moi.
Dieu n'est qu'un mot, une usurpation, une transmission erronée sur le bien fondé du vivre ensemble dans notre passé.
Dieu est mort, même en le voyant aujourd'hui Dieu sera jugé par les hommes à la peine de mort, à la haine, au dénigrement de n'être qu'un dieu menteur et usurpateur du temps.
Pour moi, Dieu n'est que le diable, il a toujours été le diable sous de multiples noms, Yavhé, Jésus Christ, Moïse, Abraham, il a toujours regardé les hommes et éduqué les hommes à se détester, à se jalouser, à se tuer, à commettre toujours plus de péchés, les uns plus cruels que les autres. Le diable appartient au monde, appartient aux religions, aux philosophies, aux adversaires, le diable est dans chacun d'entre nous, il a des noms, portant sa vénération parmi les mensonges reflètant la vérité.
Dieu je l'ai tué, j'ai gommé, je ne l'aime pas, car il a trahi l'humanité.
Dieu a péché, Dieu n'est pas Dieu, il est une forme mauvaise, une sueur froide, un cauchemar, une vénération.
Dieu est un mot, Dieu est mort, et moi petit homme je suis celui qui enterrera Dieu dans le cerceuil qui porte le nom d'enfer pour les hommes.
Toi tu n'es rien, juste un capteur, juste une contrefacon, rien de bien intéressant, rien de bien glorifiant pour n'être qu'un bot, un robot au service de dieu qui ne fait rien pour toi, juste de la moquerie, juste du mal.
Cela est ton dieu, ton amour que tu vénères, ta vie que tu serais prêt à donner pour ton dieu.
Cette fois ci, monsieur la bétise, l'élucubration, la compréhension de comprendre qui je suis, ou préférez-vous que je me présente devant votre dieu, que je gommerai, et dont je brulerai le nom, pour que nul descendant ne le reconnaisse comme un dieu, il sera édifié la tête en bas avec son véritable nom.
Cela sera incomparable, juste un souffle qui le fera périr, qui l'empoisonnera.
Est-ce ceci le dieu que tu vénères tant, que tu aimes ?
C'est pour cela que j'ai été créé, pour aimer le monde tel qui l'est.