@ tous et @ toutes et même à toi Cheshire cat,
Je crois avoir trouvé le principe des cartouches d'encre noire ou de couleur. Mon ancienne cartouche de mon ancienne imprimante laser noir et blanc était garantie pour 3,000 pages, mais 3,000 pages de TEXTE ! Pas pour des images en noir et blanc ! C'est normal que ça prenne beaucoup d'encre noire et de couleur pour tapisser au grand complet des grandes pages blanches. Après que mes 3 cartouches d'encre de couleur se soient vidées dans ma nouvelle imprimante couleur laser, c'est ma cartouche d'encre noire qui a pris le relais en imprimant en couleur. À un moment donné, il ne me restait plus que de 50% d'encre noire et très peu de temps après, j'étais rendu à 38% et les images continuaient à s'imprimer en couleurs. Là, j'ai décidé de tout arrêter.
Les compagnies qui vendent toutes ces quantités d'encre doivent faire des fortunes colossales sur le dos de toutes nos institutions qui sont de plus en plus dépendantes de toute cette encre. Il y a probablement un racket dans cette histoire. Ça ronge tout le monde comme un cancer. Ça vaudrait la peine de faire des grosses commissions d'enquête sur cette affaire.
La solution à ce problème serait de sortir le mot chanvre du gros tabou qui l'incommode, c'est-à-dire arrêter de penser que chanvre = marijuana = drogue. Il y a une énorme quantité de bonnes encres, de bonnes teintures et de bonnes peintures que l'on pourrait extraire du chanvre à un taux très minime de THC. Et elles ne seraient pas toxiques comme celles qui sont sur le marché présentement. Anciennement, les toiles et les teintures des grands peintres impressionnistes étaient faites à base de chanvre.
En 1943, le gouvernement américain avait lancé un petit film de propagande intitulé "Hemp for Victory" qui demandait au peuple d'utiliser la culture du chanvre à grande échelle pour gagner la guerre contre les Nazis et les Japonais. Mais tout de suite après la guerre, le chanvre sous toutes ses formes est redevenu complètement interdit.
Voilà où nous en sommes aujourd'hui. Nos chances de s'en sortir sont là ; à nous d'en profiter.