La taqîya est l’art de la duplicité. C’est la permission d’Allah donnée aux musulmans de mentir sans vergogne face aux mécréants (comprendre juifs, chrétiens, sabéens, zoroastriens et incroyants).
Dans la sourate 16 – les abeilles-an-nahl (sourate mecquoise) verset 106, il est écrit : « Quiconque a renié Allah après avoir cru… – sauf celui qui y a été contraint alors que son cœur demeure plein de la sérénité de la foi – mais ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là ont sur eux une colère d’Allah et ils ont un châtiment terrible ».
Dans la sourate 3 – Al-Imran (médinoise), verset 28, il est écrit : « Que les croyants ne prennent pas pour alliés des infidèles au lieu des croyants. Quiconque le fait n’est en rien de la religion d’Allah, à moins que ne cherchiez à vous protéger d’eux. Allah vous met en garde à l’ égard de Lui-même. Et c’est à Allah le retour ».
La taqîya est un oukase religieux mis à la disposition des musulmans par Allah pour dissimuler la vérité face à leurs ennemis. C’est un masque d’hypocrisie afin de faire passer un mensonge pour une vérité absolue, induisant en erreur volontairement ceux qu’ils veulent soumettre.
Comme l’islam interdit catégoriquement aux musulmans de quitter leur foi de gré ou de force, sous peine d’être terriblement châtiés ici-bas et dans l’au-delà (voir sourate 2, verset 217, sourate 3, verset 86, 87 et 87, sourate 4, verset 115, sourate 16, verset 106), alors il leur est permis de mentir pour demeurer dans le sentier d’Allah et culbuter leurs ennemis.
Il est prouvé historiquement que l’islam est compatible avec la duplicité, car sa pérennité en dépend. Le besoin de se faire accepter en dehors de Dar El Islam fait que tout musulman est autorisé à s’habiller de la taqîya pour affirmer sa foi religieuse en scandant qu’il pratique une religion de paix et de tolérance. Car ce qui compte en dernier ressort, c’est l’appartenance à l’islam, peu importe alors la profession de foi publique, puisque Allah connaît mieux que quiconque les cœurs et les pensées de chacun de ses adeptes.
Et les dispositions (sources) qui fondent la doctrine de la dissimulation (la taqîya) se trouvent dans le Coran et la sunna.
D’ailleurs, la recours à la taqîya est confirmé par les exégètes musulmans et notamment Tabari (839-923).
La taqîya permet au musulman d’abjurer extérieurement ses croyances, de professer publiquement une autre religion, d’accepter d’être reconnu comme un non-musulman ou renoncer aux exigences cultuelles et législatives conformes à l’islam, tout cela est toléré religieusement s’il se trouve dans des conditions qu’il estime être de contrainte. Car une telle attitude est justifiée si elle fait avancer la cause de l’islam.
La taqîya permet de distiller un discours de non-violence comme c’est le cas actuellement en France où les islamistes qui ont pignon sur rue scandent qu’ils pratiquent une religion de paix, d’amour et de tolérance qui est reprise en chœur par les idiots utiles. C’est une propagande 100 % hallal. Qui dit mieux ?
En Occident, la taqîya consiste à utiliser un vocabulaire qui plaît à l’oligarchie politico-médiatique surtout de gauche tout en travaillant la société en profondeur afin de la soumettre à l’islam.
Elle permet aussi à la secte des Frères musulmans de profiter de l’ignorance de ses interlocuteurs non musulmans pour faire passer des messages tronqués. Quant au vrai message de l’islam, en particulier celui qui concerne la violence, la liberté de conscience, les droits de l’homme, le statut de la femme et des minorités non musulmanes en terre d’islam, l’égalité homme/femme et surtout le djihad, il est complètement oublié. Banni !
Les membres de cette secte hypocrite utilisent les tribunes qui leur sont ainsi ouvertes dans la presse (journaux, radios et télévisions) pour mentir et faire passage les messages de contre-vérité sur l’islam qui est avant tout guerrier et conquérant depuis 622 de l’ère chrétienne.
Il est indéniable que la taqîya reste une arme de conquête que les musulmans pratiquent sans retenue pour soumettre l’Occident.
Toute personne non musulmane qui ignore les méandres des discours mahométans peut facilement tomber dans le piège islamique.
Selon la sirâa nabaouinya (la vie du prophète) d’Ibn Hichem, l’Envoyé d’Allah, Mahomet avait utilisé la taqîya dès son arrivée à Yathrib (Médine) face aux tribus juives qui y habitaient depuis des siècles pour les combattre. En effet, Mahomet rentra en conflit avec le poète Ka’b Ibn Aschraf qui l’avait offensé (sources islamiques), s’exclama à la mosquée : « qui tuera cet homme qui a blessé Allah et son prophète ».
Un certain jeune homme, Muhammed Ibn Maslama se porta volontaire pour assassiner Ka’b Ibn Aschraf mais avant d’agir, il demanda au prophète la permission de mentir qui l’autorisa sur-le-champ.
Muhammed Ibn Maslama alla voir le poète Ka’b en commençant à dénigrer l’islam et Mahomet. Il continua à dire du mal sur le prophète de l’islam jusqu’au jour où il mit en confiance Ka’b. Puis, il le tua de sang froid avec l’aide d’un autre musulman.
Ainsi, Muhammed Ibn Maslama parvint à assassiner Ka’b Ibn Aschraf en utilisant la dissimulation. La ruse !
D’ailleurs, après cet acte de djihad, Mahomet a dit que : « celui qui vit dans la dissimulation, meurt en martyr ».
Y a-t-il une parole à ajouter après ce hadith ?
L’islam et la ruse ne font-ils pas bon ménage ?
Le temps n’est-il pas venu pour que la taqîya soit dénoncée avec vigueur afin de déshabiller l’islam ?
Hamdane Ammar
https://ripostelaique.com/la-taqiya-est-une-arme-islamique-de-conquete.html