Bonjour Eukini,
Bin, figure toi que moi, ca m'arrange ces 5000 licenciés, plus on licenciera, plus on se rapproche du salaire inconditionnel, bin oui Eukini, à force de licencier ces personnes, elles doivent se contenter des revenus de remplacements, et jusqu'à présent c'est pas avec ces pichenettes que l'on peut s'acheter un yacht.
Plus on licencie, moins l'argent circule, et l'argent jusqu'à présent c'est bien lui qui fait tourner la boutique, va y avoir un moment, à force de nous enlever des sous en nous enlevant le travail, les entreprises devront fermer boutique et toute la smala qui suit, jusqu'aux petits détaillants qui maintenant soldent leurs produits jusqu'à 70% ET MÊME À CE PRIX ILS NE VENDENT PAS. ?
L'Europe vit au bord du gouffre, et plus les technologies avanceront, plus y aura des licenciements, plus la situation se dégradera ,Y'a pas plus aveugle etc...etc...etc...si nous continuons à tripoter et mettre un plâtre sur un plâtre, sur un système qui defient de plus en plus lour, nous Finirons par couler, je sais, tu n'est pas d'accord avec mon raisonnement, mais je ne relate que ce que je constate et entend !
Il,n'y a pas de solution qui puissent s'adapter sur un système économique complètement dépassé qui meurt, les décideurs ne veulent pas l'admettre, ce futur, tout technologique , leur fait peur, des milliers d'emplois dans le nouveau système ne seront plus nécessaire, dans lesquelles les élus sont aussi concernés, qui est aussi une raison pour laquelle les élus ferment les yeux sur ce que provoque les technologies, alors ils laissent cette économie complètement dépassée mourir lentement, malheureusement cette mort lente nous entraîne tous !
Cela ne m'etonnerais pas du tout, que certaines technologies restent dans les tiroirs, pour éviter
des dizaines de milliers de licenciements, qui mettraient vraiment l'économie par terre, sauf si les élus avaient le courage de faire,un virage à 180°, et remplacer le travail et les salaires qui se perdent,
en créant de l'argent sur une autre base que le travail !
Tu as sollicité mon délire, bin le voilà !