Présent sur une péniche, Nigel Farage, le chef du parti europhobe et anti-immigration UKIP a qualifié la politique européenne Bruxelles de « criminelle » :
« Nous voulons reprendre le contrôle de nos eaux territoriales. En faisant cela, nous redonnerons du travail à des dizaines de milliers d’hommes et de femmes. »
Face aux chalutiers, quelques embarcations de taille plus réduites sont venues jouer les trouble-fête, avec à leur bord des partisans d’un maintien du Royaume-Uni dans l’UE.
Sur l’un d’eux, le musicien irlandais Bob Geldof, micro en main, a apostrophé M. Farage :
« Nigel, tu es un escroc. (…) Tu as participé à une seule des 43 réunions de la commission de la pêche au Parlement européen. Tu n’es pas l’ami des pêcheurs. Arrête de mentir, cette élection est trop importante ! »
Présent sur une péniche, Nigel Farage, le chef du parti europhobe et anti-immigration UKIP a qualifié la politique européenne Bruxelles de « criminelle » :
« Nous voulons reprendre le contrôle de nos eaux territoriales. En faisant cela, nous redonnerons du travail à des dizaines de milliers d’hommes et de femmes. »
Face aux chalutiers, quelques embarcations de taille plus réduites sont venues jouer les trouble-fête, avec à leur bord des partisans d’un maintien du Royaume-Uni dans l’UE.
Sur l’un d’eux, le musicien irlandais Bob Geldof, micro en main, a apostrophé M. Farage :
Le ministre des finances britannique, George Osborne, a affirmé, mercredi, qu’une sortie de l’UE pourrait déclencher la mise en place d’un « budget d’urgence », qui entraînerait des hausses d’impôts et une réduction des dépenses pour compenser un trou de 30 milliards de livres (38 milliards d’euros).
CAMERON dixit
Les écoles, les hôpitaux et l’armée verraient leurs financements se réduire, a prévenu M. Osborne. « Quitter l’UE toucherait les investissements, nuirait aux familles et à l’économie britannique », a-t-il averti.
« Il y aura un trou dans nos finances si nous quittons l’UE », a renchéri le premier ministre, David Cameron, sur Twitter. « Cela signifie des impôts plus lourds, des coupes budgétaires, plus d’emprunts », a ajouté le chef de l’exécutif, déjà accusé par ses opposants de mener une politique d’austérité au détriment des revenus les plus faibles.
Ces menaces ont été critiquées par le camp du « Vote Leave », qui y voit une « punition » en cas de vote du « peuple pour reprendre le pouvoir confisqué par Bruxelles ». Cinquante-sept députés conservateurs favorables à un « Brexit » ont aussi fait savoir qu’ils ne voteraient pas un tel collectif budgétaire.
Et pourtant c'est le premier à mimer les gestes de TATCHER quand il vient à Bruxelles à la Commission Européenne.
LE BREXIT RESTE BIEN MENACANT MAIS LE BREMAIN RESTE MAJORITAIRE
THE EUROPEAN DREAM IS ON
THE AMERICAN ONE IS DEAD IN BAGDAD
TONY BLAIR PERSONA NON GRATA URBI EUROPEA TERRARUM