Alors là, moi ça m'en touche une sans faire bouger l'autre.
De toute manière, la presse, à quelques exception près, est déjà totalement uniformisée. Elle n'est plus que la caisse de résonance des intérêts de quelques grands groupes financiers.
tout à fait ! et en plus, s'il n'y avait les subventions, la plupart auraient déjà coulé. d'un autre côté, n'être informé que par la tv, on a vu ce que cela donnait cette semaine.
Les groupes financiers qui investissent dans la presse, en France, ne le font pas pour gagner de l'argent - au moins sur autre chose que l'opération financière.
On ne gagne pas d'argent avec la presse, on en perd.
L'Etat n'injecte pas du pognon là-dedans pour faire plaisir à qui que ce soit, , ce n'est pas le problème.
La question est : doit-on se payer les moyens de s'offrir la presse écrite, cette danseuse ?
Sachant que si nous regardons chez nos voisins (En Britichie ou en Bochie Herzégovine, en particulier), il y a une presse non subventionnée et qui ne perd pas, mais se fait du pognon.
Mais vous avez vu ce que c'est ?
Fion, fion et refion !
Bon, Polo aime ça parce que les photos de cul les plus chères sont liées à la monarchie (et son unique intérêt économique : vendre du fion) et doivent la légitimer par ce côté, dans son esprit, mais pour le moment, pour avoir une presse écrite à peu près possible, faudra que le contribuable mette la main à la poche.