A Berlin, des petits boulots pour réfugiés à 1 euro

http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... GmF1Kuo.99

Dans tous les autres cas, ils devront être rémunérés au salaire minimum. Les syndicats comme le Parti social-démocrate y tenaient afin que les réfugiés ne puissent pas se substituer aux emplois « normaux » occupés par des Allemands. La rapidité à laquelle semblent se développer les petits boulots à 1,05 euro semble pourtant indiquer que la frontière entre les deux catégories d’emplois n’est sans doute pas aussi étanche que les responsables politiques l’affirment.

80 euros/mois...

honte de rien les Allemands.

C'est vrai que l'assistanat c'est mieux !

Allons, ça veut dire qu'en Allemagne, on peut bosser pour 80 euros/mois.

c'est tout.

un peu mon n'veu. et légale en plus

une des causes de l'organisation de ce déferlement

mais à terme ce sera contre productif question économie

ces patrons ultra libéraux .... toujours l'oeil sur le guidon

80 euros/mois...

honte de rien les Allemands.

si je comprends bien l'article, il s'agit de travailler au maximum à mi-temps dans les camps de réfugiés, ils travaillent pour eux-mêmes en quelque sorte.

ces 80 € peuvent sembler dérisoires, mais ce n'est pas négligeable en complément de leur allocation qui n'est que de 143€ par mois

s'ils travaillent dans le privé, il sont alors au salaire minimum normal.

oui, c'est clair : ils réparent une gouttière dans leur camp pour 1 euros de l'heure. Gouttière que ne réparera pas la boite d'à-côté qui tourne à bien plus.

et que va faire la boite d'à-côté d'après vous à terme ?

couler ?

Ma mère a eu ce genre de problème avec une gouttière, elle n'a trouvé aucun artisan qui acceptait de lui réparer sa gouttière ! C'est mon beau-frère qui a fait plus de deux heures de route, aller-retour, pour lui réparer sa gouttière, moins d'une heure de travail !

Alors quand j'entends les artisans se plaindre de ne pas avoir de travail, ils me font bien rire !

Car des cas comme ça, de refus des artisans, j'en connais d'autres !

J'ai entendu que dans un des landers, dans l'industrie, 5.500 réfugiés vont intégrer, en septembre, des formations d'apprentissages !

couler ?

Ma mère a eu ce genre de problème avec une gouttière, elle n'a trouvé aucun artisan qui acceptait de lui réparer sa gouttière ! C'est mon beau-frère qui a fait plus de deux heures de route, aller-retour, pour lui réparer sa gouttière, moins d'une heure de travail !

Alors quand j'entends les artisans se plaindre de ne pas avoir de travail, ils me font bien rire !

Car des cas comme ça, de refus des artisans, j'en connais d'autres

c'est bon pour la santé, de rire, mais vous n'avez manifestement pas compris le mot "à terme" utilisé par Cemab

En tout les cas, merci d'illustrer pourquoi certains sont prêts à tout pour justifier l'exploitation à un euro par heure de millions d'étrangers.

vous ne trouvez pas cela amoral ?

vous ne trouvez pas cela amoral ?

Pas davantage que d'autres pratiques, c'est le fameux pragmatisme économique auquel les politiciens nous invitent, le nouveau fantasme de l'Etat-Concurrent. Tant que vous acceptez des travailleurs à moindre coût à l'étranger, vous les invitez chez vous, c'est inévitable.

Il est quand même précisé dans l'article que c'est pour travailler dans les camps de réfugiés ou dans des associations pour réfugiés. Pas dans des entreprises !

oui, c'est clair : ils réparent une gouttière dans leur camp pour 1 euros de l'heure. Gouttière que ne réparera pas la boite d'à-côté qui tourne à bien plus.

et que va faire la boite d'à-côté d'après vous à terme ?

la boite d'à coté n'aurait pas eu de travail dans les camps s'il n'y avait pas eu de camp.

elle garde son marché habituel de la ville

L'Allemagne avec cet accueil massif de réfugiés nous met c'est évident mal à l'aise .Pensez donc nous le pays des droits de l'homme ,côté hospitalité on est battu à plate couture.On l'a un peu en travers reconnaissons le.Bien sur on met en avant bien des arguments mais essentiellement mercantiles.

42000 réfugiés à Berlin !Aucune ville ou pays en Europe non seulement ne fait cela mais n'envisage même pas!

On peut trouver la méthode indécente ,consistant à rétribuer pour bien peu un travail réalisé dans les bâtiments d'accueil ou dans les associations bénévoles qui agissent dans ces lieux mais nous on fait quoi à Calais notamment.

C'est vrai qu'il ne nous serait jamais venu à l'idée de procéder ainsi. Nous laissons les gens désoeuvrés ,entassés "se débrouiller" dans leur camp et cerise sur le gâteau ils travaillent sans aucune rémunération.

oui, c'est clair : ils réparent une gouttière dans leur camp pour 1 euros de l'heure. Gouttière que ne réparera pas la boite d'à-côté qui tourne à bien plus.

et que va faire la boite d'à-côté d'après vous à terme ?

la boite d'à coté n'aurait pas eu de travail dans les camps s'il n'y avait pas eu de camp.

elle garde son marché habituel de la ville

C'est exact, mais elle n'aurait pas eu de concurrent à 1 euro de l'heure.

Souvenons-nous de Juvenal : "le crime précède la loi". :

Les jobs à un euro n'ont pas été inventés pour exploiter les migrants.

Ils rêvaient de s'installer en Allemagne, ils sont à égalité de traitement avec le travailleur allemand.

Les 1 euro-jobs sont tout aussi redoutés sinon plus ... car là aussi, il est indispensable d'accepter le travail proposé si on ne veut pas perdre son droit aux allocations de chômage. Un 1 euro-job, c'est un travail, payé 1 euro de l'heure (parfois deux à l'heure actuelle), dans le secteur public ou dans le caritatif.

http://trends.levif.be/economie/politiq ... 16377.html