Comme le dit Miguelito, le "producteur" a plus que probablement remis en cause la sexualité des policiers et mal parlé de leur maman.
Sa correction est donc parfaitement justifié et a même été menée avec professionnalisme: aucune blessure autre que celle à son amour propre.
Seul petit bémol, des propos racistes non prouvés parce qu'il n'y a pas la bande son et surtout une violation de domicile. Ceci méritant une enquête, la raclée, à partir du moment ou il n'y a pas blessure, non.
Avant il n'y avait pas d'image, la réalité on la connaissait, ou pas, mais en tout cas on avait un certain recul.
Maintenant toutes les images n'importe qui se les prend en pleine poire.
Est ce une raison pour tenir compte des émotions ?
La guerre sans morts ça n'existe pas, la police sans violence ça n'existe pas, manger sans tuer, dépecer éviscérer un animal non plus. Si les images de tout ça sont partout, et bien il faut se blinder, sinon tout ce qui a des aspects sales on ne pourra plus les faire. C'est ça aussi la décadence, être incapable de faire les choses crades mais nécessaires.
Alors profitons de cet épisode pour nous blinder au lieu de pleurnicher, la lacrymocratie ça commence à bien faire.