Pas d'inquiétude. Les migrants mâles vont bientôt remettre de l'ordre.
Ben les migrants males viennent de sociétés ou l’homme n’a pas été castré. Pourquoi croyez-vous que les migrants font la loi dans les rues en France ? C’est pas très compliqué à expliquer une fois qu’on a compris que vous d’un côté des hommes et de l’autres des au sens social du terme.
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Petit retour en arrière pour expliquer l’évolution du féminisme.
La première vague féministe:
A l’échelle historique, la différence chronologique entre le droit de vote de l’homme et celui de l’homme est négligeable. Si on réduit l’histoire de l’homme à 24 heures, l’homme a eu le droit de vote à 23h58 et la femme à 23. C’est un premier point. Le second, c’est de comprendre qui a eu en premier le droit de vote. Les premières personnes à voter était les nobles et riches parce qu’ils avaient un bien entendu un intérêt financier à pouvoir dicter la politique locale par le biais du vote. Le petit paysan n’avait pas plus de de droit d’exprimer son opinion dans les urnes que sa femme. Quand le droit de vote a été étendu. Le suffrage universel étendu à tous les hommes de plus de 25 ans après la révolution était implicitement lié à la conscription militaire. C’est vrai en France comme aux USA où une décision de 1918 la Cour Suprême Américaine confirme qu’ « il n’y aucun doute que la conception même d’un gouvernement juste inclut l’obligation réciproque du citoyen de rendre un service militaire en case de besoin, et pour le gouvernement le droit de l’imposer. Cette proposition se suffit à elle-même ». en d’autres mots, les hommes bénéficiaient du droit de vote parce qu’ils en payaient le prix en temps de guerre, et la Cour Suprême estimait que ce « marché » entre le gouvernement et l’homme était une évidence qui ne demandait aucune explication. La situation est la même aux USA. Bien-sûr, vous n’entendrez jamais ça sortant de la bouche d’une féministe. Encore faudrait-il qu’elle le sache. Quand les femmes ont eu le droit de vote, ça a été sans aucune contrepartie. En Angleterre pendant la première guerre mondiale, les suffragettes menèrent une campagne d’humiliation des males qui ne s’étaient pas signalés à l’armée. Les militantes féministes leur « offraient » des plumes blanches, symbole de la honte, pour les forcer à aller au combat…parce que les femmes de l’époque savaient très bien que le droit de vote étaient réciproque au devoir de conscription militaire. On reconnaitra par contre que Christabel Pankhurst, leader des suffragettes, prôna les « travaux de guerre » pour les femmes, mais qu’elle eut bizarrement beaucoup moi de succès et de soutien dans cette démarche…qu’elle abandonna d’ailleurs très vite quand les femmes obtinrent le droit de vote... Encore mieux, si l’on analyse le situation en France, on peut déjà se rendre compte qu’entre 1792 et 1974, si les hommes doivent avoir plus de 21 ou 25 ans pour voter, on considère par contre qu’ils sont en âge d’aller mourir sur les champs de bataille. Pire, les déserteurs étaient exécutés jusqu’en 1919 (à peine un an avant que le droit de vote féminin ne soit étendu à la nation entière aux USA – 1920). La seule condition que les femmes aient jamais eu à remplir pour pouvoir voter ? Avoir 18 ans.
Alors comment l’homme est-il le sexe « privilégié » et la femme le sexe « opprimé », déjà ? Il faudra qu’on m’explique.
Apres, on a le droit aux platitudes socialo-féministes habituelles :
Le droit au travail !! Foutaises. Que ce soit au marché, dans les champs ou les usines, les femmes ont toujours travaillées.
Le droit au carnet de chèque!…à une époque où les ouvriers étaient payés à la semaine et ni plus les hommes que les femmes des couches populaires avaient les moyens d’écrire des chèques...
Etc.
La deuxième vague a apporté quelques bonnes choses comme la contraception ou l’avortement mais passé ça, l’idéologie développée par les leaders féministes était d’une telle misandrie et d’une telle venimosité (j’ai donné quelques citations un peu plus haut) que ça a vraiment été l’heure noire du féminisme. C’est aussi pendant la deuxième vague qu’apparaisse les grands mythes argumentatifs féministes qui perdurent encore aujourd’hui (disparité salarial homme-femme à travail égal, % de filles violées pendant leur séjour en fac, % de femmes maltraitées, la « culture du viol » etc. Pire, ce sont les idéologistes totalitaires (Morgan, Solanas, Dworkin etc) de la deuxième vague qui sont aujourd’hui admirées, encensées et étudiées dans les facs par les héritières idéologiques de la troisième vague, un mouvement aujourd’hui hautement radicalisé compris d’hystériques dont les revendications sont de plus en plus parodiques et les méthodes de plus en plus fascistes. Les vidéos au-dessus en sont quelque exemple, mais en voici d’autres :
1) La campagne #banbossy. Les féministes voulaient faire interdire le mot « bossy » (Trad : « autoritaire », « qui aime donner des ordres »). Le motif ? Le mot serait vexant pour la femme et découragerait de poursuivre des postes dans le leadership parce qu’elles auraient peur qu’on les appelle « bossy ». Les féministes ne se rendent même pas compte à quel point cette revendication est insultante. Les femmes seraient-elles si faibles que le traumatisme d’un simple mot suffirait à les faire dédaller? Quelle bêtise. Mais elles y sont allées à grand coup de grande campagne publicitaire montrant des femmes qui avaient été appelées « bossy » …comble de l’ironie, toutes ces femmes étaient des célébrités qui ont réussies (Beyonce, Jennifer Garner, Jane Lynch, Condoleezza Rice etc)…le mot « bossy » n’a pas l’air sir insurmontable que ça. Pendant ce temps-là, l’Irak légalisait le viol et le mariage pour les filles de 9 ans ; mais pas un mot là-dessus de la part des harpies féministes qui étaient sans doute trop occupées à dépenser des millions pour tenter de bannir un mot du dico.
2) « man spreading ». L’acte pour un homme de s’assoir avec les jambes dans cette position.
Les féministes voulaient faire interdire ça dans les transports en communs. On peut s’entendre sur le fait que si les jambes sont trop écartées, quelqu’un peut prendre trop de place au dépit du confort des autres, mais les hystériques féministes ont pris au énième degré avec leur campagne sur Twitter et le hashtag - cramponnez-vous bien – #KILLALLMEN (tuez tous les hommes). L’extrémisme idéologique du féminisme contemporain dans toute sa splendeur. Par contre quand une femme a eu le culot d’utiliser #womenagainstfeminism (« femmes contre le féminisme ») pour affirmer que non, Noël n’oppresse la femme (une autre élucubration féministe), les hystériques enragées exigèrent que Twitter suspende le compte de la malheureuse. Tout ça pendant que Daesh demandait à ses lecteurs sur Twitte à quelle sauce tuer un pilote Jordanien qu’il venait de capture. Aucune réaction des mégères.
3) « Free the nipple ! » LE truc que les féministes n’ont pas cherché à censurer – bien au contraire – c’est le mamelon. Oui oui, le mamelon. Enfin une cause féministe sérieuse et noble. Pendant que les féministes occidentales exigeaient qu’elles puissent être autorisées à poster des photos de leurs mamelons sur instagran, des Pakistanaises se faisaient lapidées pour avoir l’audace de s’être mariées à des hommes que leur famille n’avait pas approuvé. Là encore, pas un mot de la part de nos amies féministes.
4) « Shirtgate ». Quand un des scientifiques de l’équipe qui a réussi l’exploit de faire atterrir la sonde Rosetta sur la comète Tchouri a eu fait sa conférence de presse dans cette tenue :
, les féministes ont explosé sur Twitter. Porc, arrièré, misogyne, patriarchie etc… On notera que l’équipe scientifique en question comptait plusieurs femmes dont aucune ne s’est plainte de sa chemise, et que la dite chemise – comble de l’ironie – lui avait été offerte par une amie !
Les féministes veulent que les femmes puissent choisir leur rôle…sauf quand c’est un rôle traditionnel bien-sûr, parce que ça c’est rétrograde, opprimant et esclavagiste. Pour la féministe Jessica Valenti, emballer les cadeaux de Noel c’est de l’oppression sexiste. Je vous jure, je n’invente rien. Et puis Barbie est un signe de l’oppression féminine. Vous saviez pas ? Pour les féministes, Barbie représente un standard de beauté malsain, injuste et irréaliste pour les jeunes filles, et les mènent à une remise en doute de leur amour-propre. Pendant ce temps-là, je n’ai jamais entendu un mec qui grandi dans les années 80 se plaindre du « standard de beauté malsain, injuste et irréaliste » représenté par Musclor.
Plus récemment, Gregory Alan Elliott, un homme qui a eu l’audace de tenir tête à deux féministes Canadiennes (Stephanie Guthrie et Heather Reilly) sur Twitter (j’ai plus l’envie de taper alors je vous découvrir les tenants de de l’affaire sur Google. Il n’y est pas allé de main morte mais rien d’extraordinaire par rapport aux échanges quotidiens sur fopo. Résultat ? Poursuites en justice qui l’ont ruiné, interdiction pour lui d’utiliser internet pendant trois (Lui qui était designer graphique freelance, le voilà au chômage forcé) et il encourrait même le risque d’une peine de 6 mois de prisons. Heureusement, la justice Canadienne a tranché en sa faveur il y a une semaine après que les féministes aient fait tout ce qui était en leur pouvoir pour le calomnier et gagner le procès qui aurait bien évidemment établi un précèdent du point de vue légal. C’est malheureusement une victoire creuse tout de même pour un homme qui a perdu son boulot, sa réputation et qui est ruiné financièrement – Il n’aurait d’ailleurs pas eu les moyens de payer ses avocats sans les dons de particuliers.
C’était quelques exemples parmi beaucoup d’autres du totalitarisme idéologique du féminisme contemporain. Un mouvement compris de misandres hystériques et enragées qui cherche à calomnier, attaquer, ruiner et censurer tous ceux qui s’opposent à elles, une idéologie devenue une parodie ridicule et qui invente de nouvelles causes pour désespérément tenter de rester d’actualité.