Puisqu'il ne faut pas en parler, parlons-en ... :)
Si le ratio homme-femme s'avère plus que préoccupant, ne serait-ce que pour la condition féminine en Europe, se pose également le problème de la formation de ces hommes car, hormis quelques cas, comment croire à la belle histoire du migrant surdiplômé ?
Quant aux garçons mineurs arrivés seuls ou en famille, la question de leur qualification professionnelle ne se pose même pas.
La transnationalité économique imposée par mutti Merkel a déclenché un tsunami arabique qui pourrait un jour évoluer en transethnicité belliqueuse, voire mortifère chez les déçus de l'éden européen, telle que nous l'expérimentons actuellement en France. Kalâche, fagoté en bombe humaine, et Allahou Akbarbu.
Pour info, submergés par le colossal flux migratoire, bien souvent les agents de Frontex en nombre insuffisant n'ont pas enregistré les clandestins-migrants dans le fichier Eurodac, puisque leur ordi n'était connecté à aucun réseau, nada de nada.
N'importe quel pékin pouvait donc se faire passer pour un syrien, pour le grand bonheur des marocains, des algériens, des tunisiens et des kosovars, d'où souvent de multiples demandes d'asile dans différents pays sous plusieurs identités.
Combien sont-ils à avoir truandé ? Nul ne le sait.
Ceci dit, qu'ils soient syriens, irakiens, afghans, algériens, marocains, tunisiens ou kosovars, il est quasi impossible de savoir si ce sont des mafieux, des violeurs, des passeurs ou des terroristes potentiels avec déjà du sang sur les mains.
Et tout ce joli monde exotique se balade sans être inquiété entre l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, la France.
Toutefois, soyons rassurés car le deus ex machina européen s'active ... lentement, très lentement :
Je pense par exemple aux fichiers d'information dits Schengen mais aussi aux bases de données d'Europol ou encore au fichier des documents de voyage volés ou perdus.
Il faudra au mieux un an, peut-être plus, pour que ce règlement européen puisse être adopté.( Fabrice Leggeri, patron de Frontex, Le Parisien du 24 Nov. 2015)
Reste à nous souhaiter bonne chance en l'espérance d'un avenir radieux.