Ben il y a déjà l'étau politico-médiatique qui empêche les politiques de faire les reformes nécessaires pour le pays.
Dès qu'il s'agit de réforme sur l'immigration, les gendarmes rouges de la pensé unique débarque pour montrer les dents.
Quand il s'agit de réformer le statut des fonctionnaires, c'est les gendarmes rouges syndicales.
Quand il s'agit des prestations sociales, c'est la même histoire.
On ne peut plus recentrer les prérogatives de l'état sans que ces gendarmes qui ne représentent au final qu'une minorité fasse du bruit pour empêcher toute évolution contrant ainsi l'intérêt général.
Donc les politiques sont soumis déjà à ça car leurs places est importante et ils ne veulent pas perdre ce genre d'allié politique fondamental pour leurs pubs, leur campagnes...
De même la gauche se priverait d'une partie de son électorat. Elle a souvent surfé sur la démagogie pour attirer des électeur promettant des merveilles mais qui ont coûté une fortune au final.
Mitterrand a conduit une politique économique catastrophique au début de son mandat allant de démagogie en démagogie.