Le première erreur est déjà d'assimiler des peuplades à une culture à la raison qu'elles se sont développées sur des territoires sur lesquels elle prévaut ou a prévalu, intellectuellement parlant.
La culture française n'appartient pas aux Français, elle appartient à ceux de France qui la servent et s'en nourrissent. Et qui font déjà l'effort de la respecter en tentant de ne pas trop écorner son vecteur cardinal, la langue.
Les gueux que l'on stocke désormais en Europe comme un obèse continue à entasser de la mauvaise graisse sont sans aucun doute les pires traîne-savates que leurs pays et civilisation aient produits. C'est un peu comme si on expédiait dans un pays civilisé un convoi intégrant les supporters du PSG, les crasseux zadistes, les colleurs d'affiche du FN, les délégués syndicaux de la RATP, les organisateurs de gay-pride, la cohorte besancenienne de la Poste, les défenseurs du patois, et j'en passe encore parmi les pires, et que l'on demande aux réceptionnistes de ce bazar hirsute de juger notre pourtant si immense culture à l'aune de ce qu'elle a fabriqué de pire.
Pendant que dans le Vercors, des gosses mouraient, des charcutiers de leur village s'engraissaient aussi par le marché noir. Et la fameuse culture française a davantage été écrite par le sang des premiers que par celui figé dans le boudin que rançonnaient honteusement les seconds, même si d'une façon égale leurs descendants s'en réclament.