En Europe, il y a des pays avec des bulles speculatives immobilieres plus fortes qu en Espagne.
La hausse annuelle moyenne outre-Atlantique etait entre 1997 et 2006 à 6,3%, en Europe, le Royaume-Uni et de l'Espagne, avec des hausses respectives de 11,1 et 11%.
Les prets hypothecaires... les Pays-Bas et le Royaume-Uni ont fait plus fort : respectivement 98,4% et 83,1%, l Espagne moins d un 60%.
Si nous allons voir du cote des tritisations, un des élément déclencheur de la crise financière, la a nouveau, l Espagne est loin derriere; Le montant des créances immobilières titrisées en Grande Bretagne est presque égal à celui des Etats-Unis: en 2006 138,8 milliards d'euros pourl es USA contre 145,2 milliards pour la Grande Bretagne, entre 2000 et 2006, ce montant a augmenté de 292% au Royaume-Uni, contre 200% aux Etats-Unis. L Espagne possede un niveau de tritisation a peine superieur a celui des Pays Bas.
En Espagne, la part des credits immobiliers sur l ensamble des credits, si on se fie des chiffres de la banque de France/EMF, est inferieur a celui des Pays Bas, de l Allemagne, de l italie et de la France entre 1996 et 2006.
Le rapport montants des prêts hypothécaires sur PIB est largement supérieur en Allemagne, Pays Bas qu en Espagne selont plusieurs sources. EMF, BEA, NAHB.
Si on prend les chiffres de INE, Instituto nacional de estadisticas, sous Aznar, l Espagne cree 5 millions de postes de travail, de ce chiffre, environ un million correspond a la construction. Donc on est loin d un pays qui n a pas sut avoir des idees de reestructutration...
Ilo est curieux de voir comment certains insistent contre l Espagne et se taisent contre ceux du nord de l europe.
Lorsqu on lit que les espagnols possedent trop de logements, on oublie de dire que la plupart de ces logements sont aux mains, en ordre decroissant: d anglais, français, allemands, belges, italiens, russes, suedois, chinois et norvegiens. Plus de 62% du parc immobilier espagnol est entre les mains d etrangers, qui dans un 90% achetent sur plans, c esta a dire avant de construire.
L Andalousie, possede de nombreuses industries, ce qui l a le plus retardee, ce n est pas les señoritos, mais la pression des nationalistes catalans et basques, qui ne voulaient pas perdre leurs positions de liders de l economie espagnole. L histoire economique espagnole est pleine des "mauvaises" actions des industriels nationalistes contre l industrialisation du reste de l Espagne. Il suffit de voir le nombre d aides publiques pour Seat a Barcelone et celles recues par SAntana en Andalousie.