Dire que les banlieues ont été "abandonnées" à la misère par les gouvernements successifs de la Vème république est une contre-vérité notoire qu'on ne peut pas laisser passer !
Des milliards de francs et d'euros ont été dépensés pour rénover, socialiser, transformer, des grands ensembles, de politiques de la ville en politiques de la ville ! Pour quels résultats ? Refuser de voir les réalités du communautarisme, refuser de voir la terreur répandue par les "bandes" et les gangs, refuser de voir le rejet de l'intégration par des populations allogènes qui veulent y transporter leurs coutumes et leurs façon de vivre venues d'ailleurs, c'est pratiquer la politique de l'autruche en utilisant les vieux boucs émissaires "sociaux" ! Les "ghettos" des banlieues, ce ne sont pas les Français (de souche) qui les ont créés ! Ni même les premiers immigrés européens qui se sont eux, parfaitement intégrés.
J'ajoute avec tristesse qu'après ces échecs à répétition des politique urbaines (échecs effectivement largement dûs au refus manifeste d'intégration ), le Qatar se charge de ces zones en investissant désormais les banlieues.
L'Association Nationale des Elus Locaux pour la Diversité, celle - là même qui a demandé l'aide de cette monarchie wahhabite et qui est désormais chargée de sélectionner les projets que ces banlieues souhaitent voir financer, n'agira
pas forcément dans un but efficace et rassurant pour la France.
Mme Leghmara Leila, qui en est la vice - présidente affirme d'ailleurs haut et fort "qu'il faut arrêter avec l'assimilation,
que l'on peut être français et d'origine étrangère, que c'est un patrimoine, une richesse qu'il faut respecter ".
Tout cela avec l'aval de notre cher gouvernement.
Dormons tranquilles, on veille sur nous...
Autrement dit, on peut être "Français", mais ne pas respecter les règles de vie des Français puisqu'on est sur le territoire français.
C'est d'ailleurs ce qui est en train de se passer à Mayotte (département français) où le Conseil départemental vient d'y installer un Tribunal... musulman, présidé par un cadi (docteur de droit coranique) qui jugera selon la Charia les Musulmans qui lui seront présentés, en dehors de la législation française et donc... laïque !
Celà bien sur, vous ne l'entendrez sur aucune radio ni sur aucune chaîne de télé...
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