La question sera d'accepter ou non les réformes imposées par les institutions européennes.
Réponse de Tsipras: "un grand non à l'ultimatum, mais en même temps un grand oui à l'Europe de la solidarité"
En résumé, on refuse les réformes, et on compte sur nos voisins pour nous donner la becquée.
Ce type est juste surréaliste, la sitution du pays est ubuesque, et on a l'impression que personne n'en prend conscience.