S'il avait gagné au loto,il aurait dit,"au revoir président".
Combien de salariers en ont raz le bol de leur patron?
Heureusement ou pas,ils ne passent pas à l'acte,souvent ils choissent le suicide.
Ce qu'il a fait est une forme de suicide actif.
Et il s'est cru solidaire du monde arabe opprimé et victime d'une oligarchie occidentale.
Ce qui est triste,c'est qu'il ne sait pas que son geste va provoquer une justification à la discrimination.
Le pauvre...
Et pour le 11 janvier, c'est pas des terroristes, ils ont juste pas aimé le journal.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france ... afiste.php
Fiché «S», pour «signalé et surveillé», de 2006 à 2008, par les services de renseignements, en raison de sa «radicalisation»
Entre 2011 et 2014, Yassin Salhi a été repéré par les services de renseignements pour ses liens avec la mouvance salafiste.
Il fréquentait notamment un militant du Tabligh - un mouvement de prédication littéraliste -, lui-même suivi de près par les services de renseignements, car il voyageait à l'étranger, en Égypte et en Indonésie.
Yassin Salhi a par ailleurs appartenu en 2013 à un collectif de trois personnes souhaitant créer à Besançon un centre islamique doté d'une école coranique.
Les policiers soulignaient ses «absences régulières et pour des périodes longues estimées à deux ou trois mois, sans qu'il soit possible de dire où il se rendait».
Salhi organisait des réunions à son domicile du quartier sensible de la Planoise avec d'autres hommes, parfois vêtus de treillis militaires, et dont les conversations, menées de temps en temps sur le palier de l'appartement, faisaient référence au djihad et au Mali.
http://www.20minutes.fr/societe/1641627 ... nnu-police
"Après son départ pour la Syrie avec sa compagne et leur petite fille aujourd'hui âgée de deux ans, le jeune converti a raconté par email à des proches être parti «pour repeupler l'Etat islamique, non pour combattre», selon l'Est républicain. Mais il a en fait été enrôlé dans une unité combattante, dans le secteur de Raqqa, a appris l'AFP de source proche de l'enquête."
Rajoutons le selfie avec la tête.
C'est vrai, un pauvre petit angelot tiraillé par un patron brutal et exigeant. Travailleurs travailleuses, on vous ment, on vous spolie!!! On vous pousse à couper des têtes!