L'inverse existe aussi, il n'y a pas que des hétéros hésitants et des homos sûrs d'eux. Vers la fin d'une vie, des homos peuvent aussi se retourner et rêver de femme et d'enfants.
Oui, souvent des allumés qui retrouvent la foi, où comme l'avait dit Joanni, "se sentent pénétrés" du Christ.
Ce qui est fatigant avec les homosexuels, c'est leur manière de faire de leur sexualité, un marqueur identitaire, par réaction anticonformiste. C'est d'ailleurs pour cela qu'on les appelle, les "homosexuels".
Au passage, on a commencé à parler "d'hétérosexualité" que pour la mettre en parallèle avec l'homosexualité. Avant cela, "l'hétérosexualité" allait tout simplement de soi ; rien que l'emploi du terme indique donc une certaine dégénérescence, une perte de sens de la norme.