Cela peut paraitre ambigüe, peut-être que le texte met plus, en exergue, l’acte de sodomie que l’attirance.
Tu confirmes donc que même sans passage à l'acte, l'attirance pour le même sexe est condamnée.
C'est pourtant contradictoire avec ce que tu disais encore au-dessus : on condamne le péché, pas le pécheur. Pourtant un homme attiré par les hommes, sans avoir des relations, est condamné pour ce qu'il est, dans sa tête. Il est donc condamné en tant qu'individu, et donc en tant que pécheur. C'est sur des constats de ce genre que le discours religieux aujourd'hui est hypocrite, et lâche. Les musulmans au moins ont le mérite d'assumer les choses clairement, on sait à quoi s'attendre. Il n'y a pas cette increvable fourberie qui vise à faire croire qu'on aime tout le monde, qu'on veut son bien ... sous conditions de se renier.
Question de respect de l’individu.
On sait, qu’il est tenté, faut l’aider à combattre ses propres démons.
Là, est le vrai héros.
Idem, pour l’alcoolisme, ou autres.