Durant sa plaidoirie, à laquelle la plaignante n’a pas assisté, Me Hayat a accusé ces femmes d’avoir tissé des liens pour faire tomber Tariq Ramadan, parlant d’une véritable « Ramadanphobie ». Dénonçant les dérives du mouvement #MeToo, qui, selon elle, « nourrit une sorte d’activisme victimaire », la pénaliste a mis en garde les juges contre le risque d'« erreur judiciaire ».
Autre avocat de la défense, Me Guerric Canonica a, lui, énoncé les « invraisemblances » dans le récit de la plaignante qui doivent « amener en elles-mêmes à écarter toute condamnation ». « Appliquer la loi, c’est acquitter Tariq Ramadan », a-t-il dit en concluant sa plaidoirie.
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