Hollande, Sarkozy, Chirac...
Sous Bonaparte 1er, il y eut une bévue : avoir laissé le général républicain Malet en semi-liberté. Un costaud pourtant ! Il annonça la mort de l'Empereur lors de la campagne de Russie après avoir quitté la maison de santé qui lui servait de résidence surveillée.
Les autres opposants étaient généralement enfermés.