« Si, à Poitiers, Charles Martel avait été battu, le monde aurait changé de face. Puisque le monde était déjà condamné à l'influence judaïque (et à son sous-produit le christianisme, une chose si insipide), il aurait mieux valu que l'islam triomphe. Cette religion récompense l'héroïsme, promet au guerrier les joies du septième ciel. Animé d'un esprit semblable, les Germains auraient conquis le monde. Ils en ont été empêchés par le christianisme»
(A.Hitler, 1942)
« Qu’est-ce que le christianisme aujourd’hui pour nous ? Le national-socialisme est une religion. Il ne lui manque que le génie religieux qui fasse exploser les antiques formules ayant fait leur temps. Il nous manque le rite. Il faut que le national-socialisme devienne un jour la religion d’Etat des Allemands. Mon parti est mon Eglise. » (16.10.1928)
« L’Eglise catholique poursuit son infâme travail d’excitation… Cette prêtraille politisante est, à côté des Juifs, l’espèce la plus odieuse que nous hébergions aujourd’hui encore dans le Reich. Il faudra, après la guerre, résoudre le problème une fois pour toutes. »
« Je suis excommunié de l’Eglise catholique. Crétin de curés ! Je chie sur ces singeries stupides. J’ai coutume de révérer le Bon Dieu à ma façon à moi. » (6.01.1932)
« Pour le moment, le Führer ne veut pas encore intervenir dans la question de l’Eglise. Il préfère n’agir qu’après la fin de la guerre… Il est indéniable que certaines mesures pises par le Parti, en particulier le décret dit du crucifix, ont par trop facilité la propagande des évêques contre l’Etat. Hermann Göring s’en plaint amèrement. Il ne cache pas son opposition aux confessions chrétiennes. Le Führer lui aussi a exprimé le même avis. »
« L’Eglise catholique persiste à se conduire de manière indigne. On me montre une série de lettres pastorales… hostiles à l’Etat. Et cependant nous n’intervenons pas… Nous leur présenterons la facture à acquitter après la guerre. »« 27 décembre 1939 - Le pape a parlé à Noël. Discours plein d'attaques très sévères et dissimulées contre nous. Toutes les forces de l'internationalisme sont contre nous. Nous devons les abattre. »
Joseph GOEBBELS, Journal, Edition Tallandier