Une dictature c'est plutôt quand on brule les églises et qu'on pend les curés.
Nous avons en la matière un modèle historique , celui de l'URSS , qui au nom du communisme brula les églises et toutes les icônes orthodoxes , extermina les curés et fit une campagne de déchristianisation massive.
Le résultat fut l'enfer sur terre.
C'est comique qu'un élu communiste bittérois demande l'interdiction des crèches à Béziers. Dans ce pays on trouve normal qu'un futur président de la république rende hommage au communisme et qu'un représentant de cette pestilence propose l'évacuation d'une crèche.
La laicité a bon dos .....
En France une gamine de 12 ans jetant une banane au passage de Taubira fait la UNE des médias mais des manifestants gauchos brandissant une banderole avec écrit Mort aux curés dessus n'émeut aucun humaniste.
Mais bon la haine anti chrétienne est absente hein.
Un système christianophobe n'autoriserait pas des messes publiques, des processions, la référence à "Noël"
il ne financerait pas l'entretien des églises, refuserait toute invitation ou rencontre des autorités religieuses,
n'aurait pas de Ministre exprimant ses vœux pour Pâques ...
Je vous donne à lire cet article expliquant bien mieux que je ne pourrais le faire la déchristianisation voulue par les élites , pas seulement en France , ce sujet sur les crèches n'étant qu'une des multiples facettes.
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014 ... claree.php
L'entreprise se mène aussi dans les écoles, où les chants de Noël, souvent, sont censurés des chorales de Noël. Il s'agit en fait d'éradiquer les dernières traces du christianisme dans l'espace public, pour le neutraliser. Plus largement, on efface progressivement tout ce qui peut lier les institutions publiques à une civilisation particulière, à une mémoire historique particulière. C'est en extrayant chaque société occidentale de son histoire qu'on l'ouvrira vraiment à la différence et à l'altérité.
Mais on aurait tort de voir dans cette entreprise la seule œuvre d'un laïcisme radicalisé. Si l'argumentaire laïciste sert encore à justifier cette censure publique du christianisme, c'est autre chose que son carburant traditionnel qui l'alimente. Plus souvent qu'autrement, les symboles de Noël ne sont pas attaqués d'abord en tant que symboles religieux, mais en tant que symboles identitaires de la «majorité chrétienne» dont il faudrait contester les privilèges symboliques. C'est en fait la querelle du multiculturalisme qui se révèle.