Construction Européenne
Il y a plus de cinquante ans les fondateurs de l’Europe
« Déterminer à établir les fondements d’une union sans cesse
plus étroite entre les peuples européens »… décident de créer
une Communauté Européenne résolue à affirmer,
la sauvegarde de la paix et de la liberté.
Ainsi, par les élargissements le XXI siècle voit 28 pays
associés à la construction. Refus absurde d’adhésion de l’Ukraine,
montre la fin des ambitions géopolitiques de l’Union.
Les autres axes étaient pervertis depuis le début.
Pour De Gaule l’Europe ne pouvait servir qu’à la « Grandeur » de la France.
Pour VGE c’était une arme pour vaincre le COMECON.
Sous Mitterrand les fédéralistes ont perdus leur rôle.
L’Euro qui devait contribuer au bienêtre des peuples
a fait un holdup inédit sur le pouvoir d’achat des plus pauvres.
Les prix ont doublés quadruplés, les salaires stagnés.
Dans les années quatre-vingt-dix les pays de l’est donnaient
leurs usines pour une bouchée de pain aux multinationales,
qui par délocalisations rentraient dans un néo-libéralisme
ou néo-communisme libéral, laissant seulement aux bienfaits collatéraux le changement structurel et progrès social. Les « plans sociaux » et d’autres mesures de même acabit ne sont qu’un leurre. La Constitution giscardienne, un livre de recettes d’une épicerie, fut le coup de grâce de « l’Union des peuples ». La Commission rédigeait, érigeait en lois les normes sur les paquets de lessives ou de viande. La PESC n’a jamais vu le jour. Le drag nach osten de sinistre réputation commença la Mondialisation qui se moque des frontières. La France par les interventions armées veut oublier la multiplication absurde des taxes. Les récents accords concernant les travailleurs détachés ressuscitent la directive Bolkestein, tant décriée. Le moteur franco-allemand, plutôt le moteur allemand et la remorque française veulent guider l’Europe. D’autres pays préfèrent la construction de murs Pourtant une autre politique est possible. Exigence du maintien des pouvoirs d’achats des salariés des sociétés délocalisées ainsi que l’augmentation continuelle des salaires des pays d’accueils. Les « Grands travaux !»Mise en route des projets gigantesques qui pourrons influer sur les écosystèmes, comme la création d’une « Ceinture Verte » de l’océan Indien à l’Atlantique, sous les dômes s’il le faut, qui stopperai le Sahara et renverserai les flux migratoires. En 2005 Evaluation d’écosystème pour le Millénaire, commandé par L’ONU – montre que nous consommons 120% de la capacité naturelle de la Terre, hypothéquant ainsi la capacité des générations futures à vivre ! Montre que la construction de l’industrie de protection de la terre est primordiale ! Influence de « développement durable », n’est que le prétexte négligeable soulignant « l’anesthésie » sociale et l’indifférence. Augmentation de la pauvreté montre que d’autres solutions s’imposent ! Soumission de l’argent, du BCE d’autres banques et fonds aux Peuples, sont les premières mesures à prendre. Appropriation, Européanisation des grands moyens de productions vont permettre la mise en œuvre d’une politique de la justice sociale et la protection de la Terre qui est la pierre angulaire de l’édification d’un monde juste ! Et enfin : Liberté ! Les bruits des bottes résonnant sur les pavés, seule atteinte à l’ordre publique. Le « manifestant, le vas-nu- pied se cachant sous les portiques est repéré, jeté au fond de la camionnette et « ayant affaire à la Police » se retrouve désormais dans le fichier des sous-hommes. Nous sommes moins que des esclaves – eux pouvaient être armés. Le pouvoir armé de meilleure technologie se moque de nos étendards. Jamais, dans l’histoire, le gouffre entre forts et faibles n’était pas si énorme niant ainsi, la première liberté que nous avons, celle de défendre notre vie ! Ainsi la création des commissions, des cercles a l’exemple de la « fédération des Solidarités » qui en un an a conquis un peuple, prouve que l’Europe est apte à se débarrasser des dictatures démocratiques qui tournent en rond. La construction européenne d’abord économique, déviant un levier pour la construction de la nouvelle amitié, une autre civilisation remplie d’échange de gens, échange d’idées, élaboration d’un système juste, apte à l’épanouissement de l’humanité. Au lieu de ça nous avons un système qui c’est délie dans ses propres contradictions d’égalité et de fraternité. Se bouchant les oreilles pour pas entendre donc pas réagir contre les idées professaient par DAECH ou en l’est de l’Ukraine. Ce n’est pas l’argent qui manque ni l’emploi mais la main d’œuvre. Une nouvelle Industrie, transition énergétique, des millions de logements à construire, des écoles, des crèches. Le budget ? Il y a quelques années le gouvernement Polonais a donné aux 900000 locataires le droit de propriété. Ainsi, soumission de l’argent, des fonds aux pouvoirs publiques n’est pas une chimère. L’offre et la demande n’a sens qu’entre le consommateur et le commerçant. Tous les intermédiaires doivent changer de poste. La France est un exemple du chaos social, ou les syndicats ne se battent que pour le « désamiantage » des entreprises publiques, ou les électeurs sclérosés ne votent que par hasard. Accablé par l’anesthésie, xénophobie et indifférence permettant tout abus de pouvoir, la société a perdu tout espoir se lançant dans l’hyper modernité et le nihilisme pour couvrir la misère autant sociale qu’intellectuelle qui nous entoure ! Un policier borné qui s’érige en juge des arts. On est à nouveau deux siècles en arrière se battant contre la censure et pour le Droit De L’homme. Mais « le mariage pour tous » devrait résoudre tout. Les hommes, les femmes, les objets…à moins que derrière tout ceci ne se profile une autre vision de la société. Les enfants sans parents, sans racine. Produit à la chaine. Les esclaves parfaits et dociles sans histoire sans origine, sans nationalité. Enfants éprouvette, ventre a loué, PMA. Pourtant l’humanité ne se divise pas en homo sexuelles ou hétéro ; En hommes et femmes, Oui ! Une infime minorité qui exige le même droit dans les domaines qui ne les concerne pas : la procréation ou l’adoption. Ces n’est plus les droits mais les privilèges absurdes et insensés. Contre qui nous nous battons ? Contre les athées militant ou les gens dépourvus de cervelle ou contre le jour et la nuit si prompt à envahir l’humanité.
Depuis cinq mille ans, 50 siècles, la tendance « naturel » de l’homme de posséder s’exprima par les conflits, l’appropriation des biens d’autrui. Par la force et la ruse il parvient à l’adhésion des individus qui à leurs tour, se clamant de « Droit Divin » s’entourant des Gardes et Armées, prennent et dictent les lois du pouvoir !
L’Humanité choisie un système qui par assurance du développement d’une caste se laisse imposer les entraves et les sacrifices en vue de la construction d’une société égalitaire et épanouie !
Se développant par les agressions et les conquêtes fondât les bases des royaumes et des empires, qui inventent des règles du foncier et de pérennité des pouvoirs, s’immisçant dans tous les aspects de la vie sociale créant l’esclavagisme, ensuite féodalisme et capitalisme qui malgré l’opposition souvent révolutionnaire du prolétariat devient le fond de la vision destructrice de l’homme. Accélérant encore son désir insensé du profit par le libéralisme, le marché, le colonialisme et l’exploitation sans limites de l’être humain il s’entoure des « Force de l’ordre » qui rend impossible toute tentative de changement.
Seule l’abolition des lois et règles qui régissent une société ainsi faite, permettrai aux hommes de construire un Monde dont les valeurs fondamentales, critères et la capacité de jugement, connaissance de la réalité sociale donneront un sens à la vérité, liberté, justice et solidarité et la mise à jour avec le temps de la civilisation, technique et technologies au service des hommes !
Le Libéralisme qui est la radicalisation du capitalisme, promet l’organisation des acteurs sociaux selon un modèle uniquement fidèle aux logiques mercantiles et financiers des possédants, toujours au pouvoir !
"Le libéralisme est devenu le fondement des grandes instances mondiales, comme l'OMC ou le FMI qui par leur supranationalité échappe à toute légitimité démocratique. Il est le seul modèle enseigné dans les grandes écoles où aucune autre vision n'est étudiée. Il est la seule logique des grandes entreprises et du capitalisme et tend à devenir la seule référence des gouvernements, de droite comme de gauche.
Présenté comme loi naturelle, la réalité sociale, libéralisme devient alors intouchable, ce qui lui permet d'échapper aux aléas électoraux du jeu démocratique. Les partisans du libre-échange considèrent que les contraintes de l'Etat sur les quantités offertes ou achetées, ou sur le niveau des prix, font perdre au marché son efficacité, en ne permettant d'approcher ni le juste prix, ni l'optimum des ressources." (Wikipédia)
Néanmoins l’existence des marchés fictifs (Bourses), production des articles inutiles, articles à durée de vie déterminés sont la preuve que le système de change se nourrit du monopole qu’il exerce sur tous les aspects de la vie sociale. Comme un cancer, il envahie le corps de la société ainsi que de l’individu.
Les lois de l’offre et demande sont engloutis dans une marée de produits dont l’homme fait également parti ! Le pouvoir, soumis aux lois de marché, confesse cette religion dont le dogme est : Plus et encore plus, entrainant le Peuple dans une folie existentielle jusqu’au pourrissement des os et le cauchemar de l’éphémère de leur vie !
L’informatique, les ordinateurs censés de simplifier le fonctionnement des administrations en rajouté au travail existant, les masses des documents, des papiers utile uniquement aux pouvoirs qui ainsi disposent d’un outil de contrôle des citoyens. Qui, par extension des codes et règlements, forment des sociétés à part, toujours fidèles aux consignes de l’ordre existant. C’est là où la nécessité d’invention des rapports humains basées sur la générosité, fera naitre les uses et coutumes qui par la convivialité conduirons à l’épanouissement de tous et de chacun.
Par création des comités, mise en route des principes de la solidarité, de transmission du savoir et des suggestions des commissions, les ONG, les bénévoles, mouvements dans leur pluralité doivent s’unir, dans l’esprit des principes élémentaires de la liberté pour assumer l’équilibre des aides, dans le souci permanente d’égalité.
Il ne faut pas se tromper, si nous voulons changer la société c’est par abolition du capitalisme, de libre entreprise et liberté du marché que nous devons commencer.
Concernant les convergences et les divergences avec les mouvements altermondialistes, le « SOL SOLIS » est un Etat en devenir dont le but est assurer le pouvoir des citoyens dans la Cité que deviendra la Terre. Il doit s’assurer d’une large promotion des idéo et de la problématique des mouvements existants, sachant que « tous les pactes et l’alliance ne sont que du vent si derrière il n y a pas des lances et des épées ». Etant par nature pacifique il n’envisage pas la force comme le moyen de parvenir à ces buts. Néanmoins c’est la « Force » dans toute sa dimension, qui est, qui sera son interlocuteur. Le Pouvoir, les Patrons et les Possédants n’hésiteront pas à l’utiliser pour annihiler toute velléité de la liberté, qui pourtant est pour nous incontournable ! La position :
« Une réforme radicale des institutions financières internationales, fondée sur une remise en cause de l’organisation actuelle des pouvoirs au sein du système financier international, constitue une condition politique préalable à la construction d’un mondialisme alternatif fondé sur le pouvoir des peuples et sur une nouvelle conception du développement durable. », (Par ailleurs juste) s’inscrit dans la volonté des changements, toujours à l’intérieur des systèmes existants. L’idée qu’on peut reformer ces systèmes, est semblable aux essais du changement des sociétés communistes, qui ont fini par l’adoption à l’outrance du capitalisme que nous demandons l’abolition !
Par l’unification des forces altermondialistes disparates, les bonnes volontés, les familles et individus qui aspirent à la disparition du gouffre qui sépare les classes, qui croit à l’égalité des chances, nous exigeons que les êtres humains inventent les méthodes de la production, distribution des richesses, qui élaborées par les commissions, dans les Entreprises de Production, de Services, Université et Ecoles, seront aptes à remplacer les organes des pouvoirs, le Pouvoir existant !
Par ailleurs : chaque mouvement, qui par définition est mu par l’énergie du changement, développement et d’épanouissement, qui à besoins d’une vision, des structures ainsi que de participation de ses membres est un allier, un hôte dans une lutte qui a un seul but, rendre à l’homme ce qu’il y en est dû !
SOL SOLIS ne recherche pas une alternative aux systèmes économiques, financiers, mercantiles existant. Il est une réponse aux aspirations et questionnement de l’Etre Humain. Par la recherche et travaux des commissions il replace toute activité humaine dans l’ordre des choses. En assignant à l’humanité la construction sociale, lui permet de suivre le mouvement Universel, qui à chaque moment se trouve aux croisé des chemins. Exigeant ainsi sa contribution dans l’expansion in temporaire, qui est l’attribue élémentaire de Tous Ce Qui Est. Il est évident que les systèmes socio – économiques existants conduisent l’Humanité à son déclin et la disparition. Le capitalisme n’est pas en train de s’essouffler. Il agonise ! Les hommes proposant des reformes, des changements de tell ou autre politique prolongent cet agonie, imposant aux générations suivantes la mise en route des projets qui, le temps passant, deviendrons impossibles à réaliser.
La Terre aujourd’hui permet au double des gens, qui la peuplent, une vie décente et l’accès à l’éducation et usage conscient des technologies. Pourtant le constat du présent, conscience des causes et des effets dont témoigne l’histoire des nations, des groupes et mouvements, dénonçant la mégalomanie, égoïsmes envies et soif de pouvoir, montre que le progrès intellectuel de l’homme, peux se faire, se fait, sans apporte des techniques ou de technologie, de l’économie de marchés. Montre que le désir de justice, de la liberté tant bafoué ne peut pas être extirpé des âmes. Qui se joigne, et se transforme en mouvements, idéologies et religions dont l’homme devient un exemple une référence souvent dans l’anonymat des masses !
L’économie du marchés, les flux financiers, libéralisme sont pour nous les causes de tous les maux dont souffre la société actuelle. Les reformes censée améliorer la compétitivité ne nous intéresse pas ! Nous voyants que le développement libéral des pays et des continents ne peut que conduire l’Humanité vers le chaos qui, faisant le jeu des nantis, l’augmente leurs main mise sur le destin des peuples !
Nous appelant tous les mouvements, organisations, les religions dont les doctrines sociales tiennent compte de l’universalité de la liberté et de droit de l’individu qui prime sur les systèmes d’exploitation de l’homme à former les commissions d’études et de réflexions en vue de doter l’humanité des outilles adéquates pour changer la route que dorénavant elle doit emprunter !
Chaque membre doit pouvoir se retrouver dans ses buts, agir dans son sens et de pouvoir s’identifier aux personnes ou instances qui le représente. D’où la nécessité de citoyenneté (membership) exprimer par les cartes d’adhérent, par le lieu de rassemblement donc l’obligation des contributions financières et autres qui assureront au mouvement sa pérennité.