Clairement tiersi les djihadistes sont une armée au service de Lucifer non pas ses enfants il n'a qu'un fils et la doctrine qu'ils défendent son œuvre, cet archange déchu a trouvé un allié de poids avec ses dégénérés dont le premier d'entre eux qu'il a manipulé faisant de lui un prophète guerrier tenant sous son joug des populations entières vouées hélas à l'opprobre, la honte éternelle.
Ne pas confondre Lucifer et le diable.
Pas plus que le pire des criminels humains, Lucifer n’est damné pour l’éternité. L’«ange déchu» n’a pas davantage une nature d’ange que le meilleur des hommes sans défaut sur terre (en admettant son existence possible). Mythe inconcevable. Exposé au mal, tout ange se comporterait comme une poule devant un couteau. Laissons par conséquent cette figure de vitrail aux ingénus. La Conscience Initiale S’est façonnée une altérité à partir d’un de Ses aspects. Telle la face cachée d’une étoile. Brillance «obscure». La Conscience Initiale peut dès lors «jouer» avec Elle-même. Avec un stratège à Sa mesure. Lucifer sert la Conscience Initiale. C’est sa mission.
Depuis le début de l’humanité, l’enchaînement des événements, que les hommes nomment histoire, est ouvert. Concernant l’essentiel, les hommes déterminent leur destin librement, au niveau individuel ou collectif. La Conscience Initiale, avec le concours de Lucifer, veille seulement à éviter des errements irréversibles, sur une grande échelle, qui compromettraient l’évolution d’innombrables personnes. Jamais plus de mal déchaîné que l’humanité en progression ne pourrait résorber. Pas plus, mais pas moins: à l’heure du «solde de bilan» d’une époque. Les proportions justes doivent être respectées. Ainsi le veut la règle divine. Peu ou prou, nul humain n’est en état d’échapper aux effets désastreux des causes perverses. Règle à jamais inchangée. Ni la Conscience Initiale ni Lucifer ne s’autorisent une dérogation.
L’assistance céleste ne consiste pas à tenir le glaive de chaque combattant. Il s’agit, pour la Conscience Initiale (comme pour Son partenaire), de rendre propices certains moments déterminants au moyen d’incidents subtils, indécelables. Les «miracles» tels que «mer qui s’ouvre en deux», «marcher sur l’eau» ou «chevauchée dans le ciel» sont imaginés par des fabulateurs voulant subjuguer les gogos assoiffés de merveilleux, faciles à berner.
Ce duel entre démiurges appelle des stratégies raffinées. Les meilleurs «coups» sont imprévisibles, ceux nécessitant le moins d’intervention possible. Cela pourrait se comparer à l’expression artistique. L’économie de moyens qui produit le maximum d’effet. Bravo les Artistes! Quoi qu’il arrive, la Conscience Initiale ne perd jamais. Comme aux échecs, une partie s’arrête toujours un coup avant la «prise du roi».
Le diable est une bête répugnante que seul Lucifer sait manœuvrer. Comme la Conscience Initiale, Sa face cachée ne se «salit jamais les mains». En chef de meute, à la tête d’une foule d’innombrables «démons», le diable fait le «sale boulot». Là où on lui dit, comme on lui dit. Pas ailleurs. Pas plus.
Lucifer a détaché la bride du diable et les laisses des démons. Le lumineux partenaire de Dieu fait flairer l’odeur pestilentielle des égorgeurs d’Allah et leurs suppôts aux bêtes apocalyptiques, qui partent aussitôt en chasse. Il n’oublie aucune ordure religieuse. Pas de quartier! L’engeance maudite doit disparaître pour qu’apparaisse un monde nouveau.
Les djihadistes et ceux qui les ont précédé durant quatorze siècles ne vont clairement pas au paradis aucun homme n'a mis les pieds dans la sainte demeure céleste;
Les djihadistes, qui s’attendent à un sort de choix au «paradis», se font des illusions. Ils ignorent la vérité. Le «paradis» rejette les êtres sauvages, cruels, pervers. Il y a incompatibilité totale entre le caractère idyllique d’un tel «lieu» et la férocité du solliciteur barbare. Il faut être stupide pour imaginer que les «félicités paradisiaques» sont accordées à des créatures immatures. Que serait un paradis peuplé de djihadistes? La guerre civile ne tarderait pas à y sévir continûment. Au «paradis» (séjour dans l’au-delà), l’égoïste continue à ne se soucier que de lui. L’hypocrite continue à feindre. L’ignorant continue à refuser d’apprendre. Le menteur continue à mentir. Le tricheur continue à tricher. L’arriviste continue à rabaisser les autres. Le voleur continue à voler. L’avare continue à entasser. Le criminel continue à «tuer». Le pervers continue à faire souffrir les autres. Etc.
Le «paradis», consiste à bénéficier de la plus grande liberté possible, dans des mondes en nombre infini. Mais pour l’atteindre, il faut que chaque créature accepte de coexister avec les autres, en bonne intelligence. Un but qui s’apprend sur terre.
Au «paradis», il s’agit de coexister sans surveillance. De «faire le bien» ou «ne pas faire le mal» sans attendre une récompense. Même si personne ne le sait. Pour atteindre ces «espaces», il faut être mature.
Le «paradis» refuse les asociaux comme l’organisme humain rejette, en son sein, les corps étrangers: automatiquement.
Le «paradis» promis par les religieux restera toujours, pour l’imposteur, un retour à la «case départ»: renaissance dans un corps humain.
L’islam tient les djihadistes par les c… en leur vantant un paradis de carte postale pour benêts.
Le «bonheur» du paradis, sous la forme d’un cheptel de femelles soumises récompensant des assassinats d’humains, est une escroquerie religieuse.
Cette promesse d’un paradis destiné aux djihadistes est une promesse de chefs religieux escrocs, voulant maintenir leurs avantages politiques et pécuniaires ici-bas. Les djihadistes, chair à canon, gobent n’importent quoi.
Les djihadistes ne sont pas près d’atteindre le «paradis céleste», qui s’éloigne d’eux au fur et à mesure qu’ils exercent leur cruauté. Dieu ne reçoit pas des sauvages féroces dans Ses «domaines pour êtres civilisés».
Le martyr qui espère des récompenses célestes pour avoir massacré en Son nom n’est qu’un criminel imbécile qui sera offert aux démons.
Concernant la récompense de Dieu accordée au «Martyr»: bernique! (message de Lucifer). Dieu ne rétribue personne pour des saloperies.
Les djihadistes ont tout faux, ils se font systématiquement, impitoyablement, recaler à l’entrée du «paradis».
Au «paradis», le vivre ensemble ne peut tolérer l’inacceptable. La saloperie n’y devient pas une vertu. Imaginer l’inverse est une pensée d’ignorant vautré dans ses niaiseries et ne voulant pas en sortir.
Paradis et djihadistes sont antinomiques. Quand l’un apparaît, l’autre disparaît. Paradis pour les djihadistes: promesse destinée aux gobe-mouches.
Quand un égorgeur d’Allah «entre au paradis», son caractère ne change pas. Il cause du mal autour de lui car c’est inscrit dans sa nature. Avec des gens pareils, le «paradis» deviendrait vite une pétaudière. Les «saints» décamperaient en masse…
C’est l’enfer qui attend les djihadistes. Un enfer qui se trouve sur terre, à leur prochaine réincarnation, quand ils renaissent aux pires endroits, aux pires moments, dans les pires conditions familiales, communautaires. La «dette» du nourrisson, résultant des souffrances infligées aux autres antérieurement, se «rembourse» par des épreuves effroyables. Remboursement intégral. Pas la moindre cruauté n’est défalquée. Les chrétiens appellent cette «dette»: péché originel, sans vraiment comprendre son sens exact.
Le «martyre» prétendu des djihadistes n’interrompt aucunement leur cycle de réincarnations. L’enfer qui les attend prend la forme karmique d’une vie suivante pleine d’afflictions. Autrement dit, tout au long de leur prochaine existence, ils vont en ch…
Les égorgeurs d’Allah qui briguent la position de «martyr» se font des illusions. Dieu ne récompense aucune dégueulasserie meurtrière, jamais. C’est même l’inverse qui se produit. Toute cruauté, en particulier quand elle se fait au nom de Dieu (mal absolu), s’expie par d’atroces souffrances lors des réincarnations suivantes.
Un Dieu croquemitaine n’a pas de sens. Le mal est nécessaire à l’homme en tant que gage de sa liberté. Le «démon», de par sa nature, ne peut faire que du mal: il n’est pas libre. L’«ange», de par sa nature, ne peut faire que le bien: il n’est pas libre. L’homme est libre. Le «mal» sur terre est la conséquence des fautes passées. «Adam» a commencé. Son retour au «paradis» implique un long chemin semé d’épreuves.
Le «savoir de Dieu» passe par Lucifer (second aspect de la Conscience Initiale, Son unique «clone», d’origine très affaibli, un partenaire créé) dont l’étymologie est: «celui qui porte la lumière».
L’islam tue depuis son origine violente, et ne cesse de tuer. Il s’agit d’une tyrannie religieuse où la cruauté est divinisée, pareille à l’idolâtrie de sauvages des thugs. Et cela durera tant que le Coran comprendra ses préceptes criminels. Préceptes criminels que les djihadistes fétichisent.
Lucifer emmène ces individus à la perdition en les éloignant de Dieu leur créateur car ses jours sont comptés son jugement arrive et plus il y en a mieux c'est pour lui.
En dernière analyse, le «dieu des djihadistes» est Lucifer, partenaire de Dieu. Il contrôle le «diable». Selon les besoins évolutifs des humains: muselière ou absence de muselière. Il sait comment traiter les créatures féroces. Ses méthodes n’ont rien d’agréables. Pour l’adorateur du dieu assoiffé de sang, un jour ou l’autre, son idole n’attendant qu’une occasion, se retourne contre lui. Les Orientaux appellent cela: (il ne faut pas tomber).
Le temps de la cruauté religieuse est révolu.
En Occident, les attentats djihadistes se faisant de plus en plus nombreux, meurtriers, dégueulasses, la position des musulmans honorables deviendra vite intenable. Avec «pogroms» prévisibles. Les populations injustement et cruellement assaillies réagissent toujours comme un fauve blessé. Elles exercent d’autant plus de violence que la cible appartient à une communauté minoritaire, aux signes ostentatoires. S’ils veulent éviter le pire, les musulmans honorables doivent rapidement allumer des contre-feux religieux. En religion, on combat les idées perverses avec des idées saines. L’idée métaphysique est le maillon faible des djihadistes. Ils perdront par là. Comme l’escroc joueur, Lucifer laisse gagner les djihadistes, avec le concours du diable, dans un premier temps, afin de tout leur arracher ensuite (méthode utilisée avec Hitler). Ils ont déjà perdu, comme les nazis en 1940.