"En cas d’impossibilité ou refus de quitter la France, l’Europe, chaque musulman réfractaire est enfermé dans un camp, sous la surveillance draconienne des militaires, pendant une durée illimitée. Toutefois, tout musulman réfractaire peut sortir libre, sur-le-champ, d’un tel camp d’internement, à condition de quitter immédiatement, définitivement, la France, l’Europe."
t'es sérieux on va pas commencer à faire des camps de concentration comme à l'époque de Staline , personnellement je crains plus actuellement les gens comme toi qui font de la sécurité un principe tellement important qu'il faut oublier tout le reste ,que les terroristes .
aujourd'hui la France doit être forte et rigoureuse contre les religions mais pas tomber dans le piège de la politique sécuritaire , c'est bien de parler de liberté de penser mais on voit apparaître de plus en plus des interdictions de penser .
on voit apparaître des interdictions de l'apologie du terrorisme ( j'emmerde et j’envoie chier ces fou de fanatiques de terroristes ) , des droits de surveillance accrus de la population .
je trouve triste que dieu n'existe pas mais c'est parce que j'ai peur de la mort que je vais commencer à m'inventer une vie après la mort .
je ne défend pas les religions mais on ne va pas commencer à faire comme les pays tyrannique et à ne plus respecter les minorités ( attention cela veut pas dire qu'il faut se laisser faire par ces minorités qui veulent imposer leurs lois , le coran tu le met bien profond la où je pense qu'est sa place , c'est à dire dans une poubelle ) .
Durant une guerre civile, il faut prendre des mesures de guerre civile. Qui veut vivre dans un pays où les ordures religieuses peuvent attaquer n’importe qui, n’importe quand, n’importe où? Quels Occidentaux veulent remplacer leur mode de vie par la charia? Quels Français veulent renoncer, comme de pleutres, à leur valeur sacrée: la liberté? Les Français ne peuvent tolérer ces dégueulasseries religieuses. On ne brade pas les joyaux de la révolution française. Les ordures religieuses doivent donc être éliminées, d’une façon ou d’une autre.
La cruauté des ordures religieuses sévit, plus ou moins, tôt ou tard, dans tous les pays musulmans: Afghanistan, Algérie, Arabie saoudite , Azerbaïdjan, Bahreïn, Bangladesh, Brunei, Burkina Faso, Égypte, Émirats arabes unis, Guinée, Indonésie, Irak, Iran, Jordanie, Kazakhstan, Kirghizistan, Koweït, Liban, Libye, Malaisie, Mali, Maroc, Mauritanie, Niger, Oman, Ouzbékistan, Palestine, Pakistan, Qatar, Sahara occidental, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Soudan, Syrie, Tadjikistan, Tchad, Tunisie, Turkménistan, Turquie, Yémen…
Par l’immigration massive, chaque pays occidental subit à son tour la cruauté de ces ordures religieuses.
Proposition pour agnostique.
Ce que les gens appellent Dieu est la Conscience Initiale. Laquelle a 2 aspects.
D’une part: un «Rien du tout» (qui est quand même quelque chose).
D’autre part: un «quasi rien» (grâce auquel le «Rien du tout» peut tout).
Dire le «Rien du tout» n’a de sens que si l’on se place au niveau matérialiste. Prenons n’importe quelle abstraction: la liberté, la justice, etc. Peut-on les couper en tranches concrètement mesurables: poids, taille, couleur, composition chimique, structure nucléaire, densité, masse, etc.? Pour ces idées, des humains peuvent néanmoins mourir. Elles comptent mais ne se réduisent pas à des dimensions quantifiables. Pensons aussi aux règles géométriques, à la suite des nombres premiers, etc. Rien de concret, tant qu’elles ne servent pas à résoudre des problèmes pratiques. Il en ressort que les idées pures, aux yeux d’un expérimentateur de labo, sur le plan du mesurage, égalent: rien du tout.
Autre abstraction, et non des moindres: la conscience. A distinguer des impulsions cérébrales, dont les traces sont enregistrables par certains appareils. Comme la liberté, la justice, les règles géométriques, la suite des nombres premiers, etc., la conscience ne peut être coupée en tranches concrètement mesurables. Elle n’a rien de matériel. Cette conscience existe chez les animaux, y compris les insectes. Conscience sans laquelle nul ne peut vivre. Grâce à elle, tout individu sait qu’il existe. Tout individu sait qu’il doit prolonger sa vie en renouvelant des actes indispensables (manger, boire, excréter, se protéger des conditions météorologiques extrêmes, dormir dans un lieu sûr…). Tout individu sait que s’il affronte un rival ou un prédateur, il doit prendre garde à ne pas perdre la vie. Tout individu sait qu’il doit perpétuer son espèce…
Les préoccupations précédentes ne concernent pas la Conscience Initiale. Pareille aux concepts de liberté, de justice, de règles géométriques, de suite des nombres premiers, etc., n’étant jamais née, Elle ne peut mourir. Reste que la Conscience Initiale sait qu’Elle vit, et pas seulement cela. D’aucuns affirment: la Conscience Initiale est une abstraction. Ils n’ont pas tort, jusqu’à un certain point cependant. Tout étant affaire d’interprétation. En fait, c’est Sa nature ultime qui relève de l’abstraction.
La Conscience Initiale étant douée de volonté, il en émane un ordre ou un souhait qui fait démarrer le processus créateur. Ordre ou souhait reçu par le «générateur pouvant tout créer».
Ce «générateur pouvant tout créer» utilise un moyen unique: l’énergie. Le chaos originel, apparent, peut s’organiser selon un plan aux innombrables possibilités. Rien n’est défini à l’avance. Chaque créature a son libre arbitre.
L’énergie «originelle» serait comme une «pâte à modeler magique». Le Petit Prince dit: «dessine-moi un mouton» et la «pâte à modeler des origines» dessine le mouton, avec l’astéroïde, le renard, la rose, etc. Le Petit Prince n’impose pas ses lois. Le Petit Prince ordonne. L’énergie se conforme aux lois du «monde des idées». Quelle que soit la demande de Dieu, l’énergie des origines solutionne le problème. L’énergie n’est pas Dieu.
Dieu est fondamentalement une conscience. L’énergie, complémentaire, Lui permet de substantifier Ses idées. Dieu ne s’est pas créé Lui-même. Comme Dieu, le «générateur pouvant tout créer», ayant toujours existé, existera toujours. La conscience, consciente d’elle-même, ne peut cesser d’être consciente d’elle-même. Eternellement. «A l’origine», n’existe que le «monde des idées» où siège la Conscience Initiale et le «générateur pouvant tout créer», au moyen de l’énergie. Rien d’autre.
Les abstractions comme la liberté, la justice, les règles géométriques, la suite des nombres premiers, etc., forment le «monde des idées». Dieu ne l’a pas créé. Il est un attribut de la Conscience Initiale. Le «générateur pouvant tout créer» est aussi un attribut de la Conscience Initiale.
La «Conscience Initiale», seule, ne peut rien faire.
Le «générateur pouvant tout créer», sans ordre, sans idée directrice, ne crée rien.
Sans «baguette magique», l’enchanteur ne fait rien.
La conscience de l’être terrestre, similaire à celle de la Conscience Initiale, ne peut cesser d’exister. Cette conscience, par contre, est capable de se modifier, de se perfectionner. Elle peut même se développer par l’assemblage d’une multitude de consciences élémentaires (passage d’insectes aux gros animaux). Tout comme un cadavre animal de grande taille, absorbé par nombre de bestioles, permettra d’animer d’autres animaux volumineux.
Quand l’homme meurt, son cadavre se dissocie, mais l’énergie qui le constitue ne disparaît pas. Sa conscience ne disparaît pas non plus. Après le dernier soupir, l’essence du psychisme individuel de chaque être perdure «quelque part». Reprenons l’analogie informatique. La conscience (programmation logicielle) serait alors comme le contenu du disque dur d’un ordinateur hors d’usage. Contenu conservé dans le «cloud», transférable dans une machine neuve…
Au moment où la conscience du défunt donne la vie cérébrale à un nouvel organisme, cette conscience est en partie «effacée». Plus exactement, l’intellect ne dispose plus de toutes les informations caractérisant son moi passé. Pour autant, l’individu reste-t-il le même? A la fois, oui et non. Situation semblable à celle de l’amnésique. Après avoir perdu la mémoire, il n’est pas devenu quelqu’un d’autre. Il garde sa sensation d’exister. Subsistent ses goûts, son langage, des aptitudes consécutives à de longs apprentissages, des règles de vie... Son caractère profond demeure. Débarrassée de l’accablant fardeau d’un ego dépassé qui entraverait son développement, la conscience «réinitialisée» est en mesure d’améliorer la progression de l’entité humaine.
Il ne s’agit pas de dogmes. Toute personne peut contester mes propositions. Un dogme ne se discute pas. Mes propositions se discutent.
Le contenu du Coran n’est pas à jeter en entier. Les musulmans raisonnables, par une réforme significative de l’islam, doivent retirer des textes islamiques chaque précepte incitant à tuer l’homme au nom d’Allah. Dieu n’est pas un assassin.