La lecture attentive du rapport de juillet 2013 de l’institution, épluché par le quotidien breton Le Télégramme, a de quoi inquiéter. « Viandes gris verdâtre impropres à la consommation humaine dans des charcuteries, moisissures, souris vivantes ou mortes, excréments de souris dans des étuves à chorizo, fromage ramassé à la raclette sur le sol pour en faire du fromage fondu (…) », détaille le quotidien citant le rapport.
Quelques grandes surfaces, oubliées de Dieu et des hommes, s'obligent à faire bosser les petits producteurs locaux, mais dans les grandes villes, comment faire pour s'approvisionner correctement, à part le boucher du coin ?
Quand même, des souris, ils déconnent... pourquoi pas des morpions ?