Réponse à filochard du 29 Avr 2014, 14
Je m’inscris surtout dans une doctrine de bon sens.
Et si le bon sens que je défends s’appelle « Libéralisme utile » alors soit.
Mais ayez conscience que la France n’aura de puissance dans ses relations avec l’U.E. que si la France à des actifs plutôt que des inactifs, et une économie vigoureuse.
Mais l’engrenage commence à devenir infernal, l’U.E. dicte la feuille de route de la France sur au moins 80% de ses lois, que ces lois tirent inexorablement la France et malheureusement la majorité des pays de l’Union vers le bas dans une atmosphère d’austérité et de rigueur dont l’U.E. passive à outrance regarde les conteneurs arrivés plutôt que d’en voir partir.
L’Allemagne est plus présente aux yeux de l’U.E. grâce à ses subterfuges qui commencent à devenir une évidence.
Mais dans tout ce que je dis si vous ne voulez pas appeler un chat un chat, c'est-à-dire qu’une république se doit d’être démocrate, libre à vous.
Quand l’économie ne permet plus de faire face aux droits de l’homme, qui est d’avoir un travail, un logement pour appréhender le bonheur alors la sécurité, la propriété et la liberté sont renvoyé au rôle de second plan, et là si vous le désirez je pourrais argumenter élément par élément, mais je vous laisse pour le moment le soin de méditer.
Et cet élément que j’ai cité, remettre les gens au travail est l’acte primordial d’une souveraineté et non l’inverse.
Que vous manipuliez comme vous le vouliez les textes du passé, rien n’y changera.
En principe lorsqu’une personne commence à écrire « n’importe quoi » c’est que cette personne est souvent à bout d’arguments, ce qui semble être effectivement la consistance de la phrase que vous n’avez pas développez.
Mais je vais vous aidez, bien entendu que la liberté est due mais lorsque vous êtes au chômage avec des dettes à rembourser, voir un enfant ou plusieurs à faire vivre croyez-moi la liberté est réduite comme une peau de chagrin.
Tout est possible mais ma question reste tout de même entière et vigoureuse, n’est-il pas trop tard, lorsque l’on voit les difficultés pour arriver à prendre que quelques fraudeurs dans tous les secteurs des allocations et des indemnités ?
Il semble que cette séparation soit devenu un travail de Titan, vous qui devez rejeter le trop de fonctionnaires croyez-moi dans ce contexte il en faudrait des paquets.
Ce qui a et met l’économie à genoux c’est le manque de travail et pas les allocations.
C’est allocations, par chance amortisseurs dans l’économie française, n’auraient aucune difficulté à être versé si grand nombre d’inactifs étaient salariés, nous ne parlerions même plus de l’assistanat et de la solidarité.
Mais vous avez raison tout peut être tiré vers le bas, mais ne désespérez pas je pense que l’U.E y arrivera.
Ce n’est pas une opposition c’est un réalisme, comme je vous l’ai dit sans bien-être de la personne sa liberté même s’il en reste un peu est réduite c’est le bons sens même, bien entendu je ne parle pas de la liberté de penser ou de la liberté de s’exprimer, non mais de la liberté de pouvoir atteindre, obtenir, faire des choses, de bien se soigner, que seul le bien-être et l’argent procure.
Et cette liberté est d’une autre saveur.