Premièrement je t'explique la différence entre "choix" et "discrimination" parce que tu justifies le racisme en ne percevant pas la différence.
Ensuite, je te fais remarquer que ton point de vue est hors-la loi (ce n'est pas de mon fait !) et pas seulement en France, dans la plupart des pays aussi, UMP ou pas !
Mais si tu veux un argument plus philosophique, comme les tiens, disons qu'il n'y a pas plus d'abrutis chez les Noirs que chez les Blancs par exemple... la couleur de la peau ne fait pas tout : ce qui compte c'est la couleur qui est dans la tête...
Tu ne lui expliques rien du tout, parce que tu n'as rien compris.
Et que tu es à des kilomètres en-dessous de sa réflexion.
Je recommence, ça sera probablement du gâchis pour toi mais sait-on jamais pour d'autres.
Une discrimination, c'est un choix basé sur des critères. Je cite le dictionnaire :
En maths, pour résoudre une équation du second degré, on se ramène à des formes générales de solutions choisies selon la valeur d'une quantité qu'on appelle...
Le discriminant.
Ce que les bons père-la-morale ont fait, c'est un glissement sémantique. Ils n'interdisent pas la discrimination en soi, ils interdisent - et même criminalisent - l'utilisation de certains critères comme la race, le sexe, l'orientation sexuelle dans une discrimination. C'est un scandale sans nom puisque ça présuppose d'une part que la justice est capable de savoir précisément quels critères sont intervenus dans une décision, et avec quelle pondération, et d'autre part que l'on introduit le délit de pensée en plus du délit d'action. En gros, la même action avec une pensée différente (des critères différents) n'est pas répréhensible, donc il s'agit d'un délit de pensée.
Si le peuple avait eu la moindre once de conscience politique et intellectuelle, ils auraient viré du pouvoir à tout jamais les bobos qui ont imposé ces âneries il y a déjà plus de 30 ans. Mais c'est sans doute beaucoup trop demander à la démocratie.