Isarel est entouré d'arabes qui ont montré clairement dés le départ que s'ils avaient l'intention de s’installer en Terre sainte ca allait étre la catastrophe .
Elle est devenue musulmane puis, re juive.
Musulmane, pas tant que ça.
Moi, je suis un fan de littérature, et en particulier de Chateaubriand. mais aussi en général de tout ce qu'a écrit Chateaubriand).
Je ne lui fais pas trop confiance d'ailleurs, il a raconté beaucoup de bobards sur l'Amérique, etc.
Mais il dit qu'il n'y avait personne ou presque, à Jérusalem.
Je suis allé regarder (because ce que je viens de dire, Chateaubriand, c'est très peu fiable, comme source) et j'ai vu que les récits des autres voyageurs en Orient disent qu'il n'y a personne, à Jérusalem (nous sommes dans les années 1820-30, par là).
Il n'y a pas de musulmans.
Tous ces voyageurs témoignent que c'est très raréfié, qu'il n'y a pratiquement personne, c'est le premier truc qui les frappe en abordant "La Ville Sainte", prétendûment, mais où il ne se passe rien, qui a autant d'activité que la Ferté-sous-Jouarre (sauf son respect, naturellement, je ne voudrais pas me mettre mal avec les habitants de cette magnifique Cité). Ils sont hyper déçus, les mecs, ils croyaient accéder à des rives mystiques, et ils ne trouvent qu'un bled dépeuplé, où ils ne trouvent que trois vagues Juifs qui prient devant le Temple et le reste qui s'en fout.
Pour les musulmans, Jérusalem n'a été longtempts qu'une vague bourgade désertée, l'idée selon laquelle ce serait un "lieu saint" de l'Islam est un procécé inventé plus tard et n'a jamais répondu à la moindre réalité effective. L'islam se soucie comme d'une guigne de Jérusalem. Il n'y a jamais eu de pélerinage ou de célébration ou de lien effectif (ou,encore moins, affectif) entre Islam et Jérusalem.
On me détrompera si je commets une erreur, mais le Prophète (Mahomet) a mentionné qu'il avait fondé une Eglise au Nord, mais sans jamais dire où ni mentionner que c'était Jérusalem. La phrase du Coran visant sans doute Jérusalem (les spécialistes disent que c'est le cas, je n'ai aucune raison de ne pas les croire), mais sans dire qu'elle s'appelle Jérusalem, ou Yéroushalaim ou Al Qods ou ce qu'il veut.
Les prétentions religieuses islamiques reposent donc sur des interprétations douteuses des paroles prononcées 1000 ans après, prétentions énoncés par un type qui ne dit rien de précis, en particulier qui ne cite pas Jérusalem,dont il ne connaît peut-être même pas l'existence.
Lieu qui n'a jamais servi comme lieu saint ou objet de pélerinage pour les Arabes,lieu dans lequel ils n'étaient que faiblement représentés et pour lequel l'attachement était en réalité très distant.