Jacques René Mesrine, né le 28 décembre 1936 à Clichy-La-Garenne et mort à 42 ans le 2 novembre 1979 à la porte de Clignancourt à Paris Jacques, abattu sans sommation par la police française.
Mesrine s'engage dans la guerre d'Algérie comme commando-parachutiste.
Il revient en France en mars 1959, après avoir reçu un certificat de bonne conduite de la part de la 626e compagnie. D'après ses proches, l'expérience de l'Algérie l'a profondément marqué ; il aura été plusieurs fois de « corvée de bois » (exécution sommaire de prisonniers algériens en dehors des enceintes militaires).
Jacques René Mesrine sera décoré par le général de Gaulle de la croix de la Valeur militaire.
En outre, Mesrine a été membre de l'OAS en 1961
Il était soupçonné de travailler pour les services secrets français.
Source: Wiki
"Jacques, le Gouvernement Français t’as jugé coupable et t’a exécuté comme on euthanasie un chien dont on ne veut plus, par les chasseurs de Broussard, bras armé de Giscard.
Je sais que tu étais seulement un anarchiste révolté contre cette Société et ses lois scélérates.
Tu as pris les armes et tu n’étais pas un héros (tu le disais toi-même), tu as lutté contre les Q.H.S et les injustices carcérales, tu as défendu ta peau et les cicatrices de la guerre d’Algérie étaient encore présentes en toi (on t’as même décoré pour avoir bien tué)
… mais qui peut te juger ? Pas les hommes en tous cas et sûrement pas ceux qui ont décidé de t’achever lors de cet hallali qui s’est terminé par ta mort.
Alors je veux qu’on te fiche la paix et que chacun puisse garder son jugement sur ta personne et ne pas se livrer à des réflexions ordurières sur toi sans même chercher à te comprendre.
Il est plus facile de juger les autres que de se juger soi-même.
Qui est assez pur pour pouvoir te juger ?"
(Commentaire lu sur un célèbre réseau social).