Une belle supercherie. Dès la sélection des douze j'ai senti qu'on allait nous prendre pour des cons.
Que les miss venant de nos territoires d'outre mer soient de couleur était une chose logique, mais nous pondre des miss pays de Savoie ou des miss Orléanais de couleur, c'est vraiment se foutre des français. En temps de crise, à l'heure où la France est accusée d'être un pays de racistes, qui compare sa ministre de la Justice à un singe, il fallait effectivement lancer un signe pour rompre la rumeur qui montait.
Alors on a truqué l'élection de Miss France, on a pousser Alain Delon vers la sortie (on l'a incité à se retirer de lui même), pour avoir le champ libre. Mettre un président du jury canadien, et trois quatre autres personnalités fortement attachées au multiculturalisme non français.
Résultats, les belles miss blanches ont été éliminées dès le premier tour. On en a quand même garder 4 ou 5 pour faire comme si ce n'était pas arrangé. Et on vire Miss Provence, Miss Côte d'Azur, Miss Auvergne ou Miss Languedoc.
Les premiers mots de la Miss ont confirmé que tout était bel et bien une mascarade.
On a eu droit à Marine Lorphelin l'an passé, une magnifique Bourguignone, on aura droit cette année à une Miss qui n'aura de Miss que le ruban. Pas le genre de fille à nous faire retourner dans la rue.
Au moins on n'aura pas à stresser pour Miss Monde, on peut dormir tranquille.