Le bizutage ne se limite pas à des injures même humiliantes, il est devenu séances tortures physiques et mentales. ( faire ingurgiter avec un entonnoir un litre de mélange d'un tiers de whisky, d'un tiers de vodka, d'un tiers de pastis, jusqu'au coma éthylique; violences intimes; fractures). Le SAMU est parfois appelé mais jamais la police. La peur des représailles tenaille les bizutés au ventre. Il ne s'agit pas seulement de "sous-entendus" heurtant les bien-pensants hélas! Il s'agit d'agissements graves qui mettent en évidence la barbarie chez des gens qui seront certainement des dirigeants. Si j'avais dû subir de tels méfaits, j'aurais réglé mes comptes par la suite à hauteur des dommages vécusz.
je suis bien d'accord avec vous
je dis juste qu'il y a 30 ans, suite à quelques accidents graves et des interdictions, ça s'était réduit dans les écoles que j'ai pratiqué à des blagues sans conséquences
En comparaison j'avais trouvé les blagues du service militaire plus embêtantes.